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Le débat scientifique sur le réchauffement n’est pas clos et les thèses du GIEC sont contestables

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cernLe débat scientifique sur le réchauffement climatique n’est pas clos. Il est légitime que les scientifiques débattent de ce sujet. Il est légitime que chaque scientifique soit convaincu du bien-fondé de sa thèse.

Les Etats ont eu tendance à adopter trop vite les thèses scientifiques des réchauffistes. En effet, ces thèses leur permettaient de lever davantage d’impôt avec un prétexte facile. Dans la plupart des pays, la recherche sur le climat est un monopole de l’Etat, directement ou indirectement. Il en résulte que les scientifiques qui contestent les thèses du GIEC n’ont plus de crédit pour étudier la thèse adverse.

Il en résulte aussi que la plupart des chercheurs sur le réchauffement climatique proviennent de laboratoires convaincus des thèses favorables au réchauffement climatique. Il en résulte donc que la majorité des chercheurs sur le réchauffement sont favorables aux thèses du GIEC.

Il faut bien comprendre que l’existence d’une majorité de chercheurs favorables aux thèses du GIEC provient uniquement du fait que l’Etat réserve les crédits de recherche sur le réchauffement aux seuls laboratoires favorables aux thèses du GIEC. Cette majorité de chercheurs n’est donc pas une preuve de la validité des thèses du GIEC. C’est seulement la preuve que les opposants n’ont plus de crédits de recherche pour embaucher des chercheurs.

La compétence en climatologie de certains scientifiques est unanimement respectée dans le monde entier. Ils sont des adversaires résolus des thèses sur le réchauffement climatique. Beaucoup affirment que le CO2 ne joue aucun rôle sur un réchauffement climatique. Leurs arguments sont respectables. Et il est fort possible qu’ils aient raison. De nombreux arguments du GIEC ont été réfutés.

Les conséquences économiques, que craint le GIEC, proviennent d’une analyse économique erronée. La partie économique du rapport du GIEC est très contestable pour tout économiste sérieux. Or, les Etats ne contestent ni la partie scientifique, ni la partie économique des prévisions du GIEC. Cette absence de contestation est une double erreur.

Les dépenses engagées par les Etats sont vraisemblablement un pur gaspillage.

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source : http://www.newsring.fr/

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