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Tendances saisonnières : printemps 2022 – premières perspectives pour l’été prochain

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Voici les nouvelles prévisions saisonnières de Thibaud M. Avec un taux de réussite dépassant largement les 80% de réussite depuis 1 an, on peut donc se pencher sur ses travaux toujours plus enthousiasmants. Nous vous proposons de découvrir ses prévisions saisonnières pour le printemps et l’été 2022.

CONTEXTE : Au sein de cette publication, seront présentées les tendances saisonnières du Printemps 2022, ainsi que les perspectives de l’été prochain rédigées par MERIEL Thibaud, courant Février 2022.
 
ABSTRACT :
D’après les projections statistiques à Modulo Mono-Canal Solaire, le Printemps 2022 se profile thermiquement de saison, à doux. Coté pluviométrie, constat identique : Aucune anomalie ne se dégage, malgré une tendance de fond à la sécheresse. La suivante saison modélisée, l’Été 2022, se démarque par un signal de l’organisation de la circulation atmosphérique relativement propice à la présence d’une masse d’air chaud. Cette période se caractériserait par des températures anormalement élevées, et, une pluviométrie classique, voir déficitaire.
 
MÉTHODOLOGIE :

Afin de réaliser ces tendances saisonnières, l’utilisation de la statistique est fondamentale. L’application d’un Modulo Mono-Canal Solaire est ainsi proposée, via la Théorie dénommée Miroir Solaire. Un traitement statistique des données est actif. En effet, un membre binaire conditionnel détermine supposément l’évolution du positionnement des centres d’actions avec le réchauffement climatique, via une analyse empirique de l’évolution rétrospective des précédentes analogies proposées par le Modulo Mono-Canal Solaire. Autrement dit, si un ensemble noté Ɣ de synoptiques à Génération n+0 issues du Modulo sont dupliquées en n+1, alors, l’évolution globale du comportement des centres d’action sera appliquée aux futures synoptiques de génération n+k, k étant un entier naturel, sous condition de stabilisation des conditions climatiques. Des correctifs de générations n+k, k différent de 0 et 1, sont envisageables à l’observation des derrières projections climatiques (ipcc.ch/report/sixth-assessment-report-cycle). Il est primordial de signaler qu’aucune preuve physique n’atteste des liens statistiques posés.

Ce modèle est expérimental et empirique. Sa fiabilité demandera à être vérifiée. Il est primordial de signaler qu’aucune preuve physique n’atteste des liens statistiques posés. Il s’agit d’une expérience. Il ne peut remplacer un modèle numérique saisonnier pour le moment.
 
 
CHAPITRE 1 : LE PRINTEMPS 2022.
– Mars 2022 se profile essentiellement doux et sec d’après la dernière réactualisation du modèle statistique proposé ici-même (V5).
– D’autre part, Avril 2022 s’annonce très légèrement humide en Europe de l’Ouest. Le nord de la France Métropolitaine serait davantage à l’écart des précipitations au sein de ce scénario, contrairement au sud, largement plus exposé. Le signal froid reste cependant marginal.
– Enfin, Mai 2022 se dessine sec et bien doux. Il s’agirait du mois le plus anticyclonique de ce printemps 2022.
Une faible sécheresse printanière n’est donc pas à exclure si Avril n’est pas aussi humide qu’attendu. Cependant, ce printemps ne s’annonce pas aussi froid que l’an passé (2021).
 
CHAPITRE 2 : L’ÉTÉ 2022.
– Bien qu’il soit encore tôt pour se prononcer efficacement, les premiers signaux statistiques proposés par le V5 pour l’été 2022 sont inquiétants. En effet, malgré un mois de Juin frais avec un bilan pluviométrique classique, Juillet & Août 2022 pourraient s’avérer être chauds et secs. Août serait le mois le plus chaud de l’été, Juillet ayant un profil davantage orageux.
 
 

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