Le Sahara peut reverdir de nouveau
Avec des preuves convaincantes qu’au passé il y a eu de l’eau dans le Sahara, le désir des chercheurs de connaître la raison des changements climatiques dans la région est tout naturel.
Se procurer les quantités d’eau nécessaire pour l’agriculture par pompage de la nappe phréatique n’est pas une solution adéquate parce que son niveau descend d’autant plus, ou même pire, comme il est arrivé récemment en Algérie. En extrayant l’eau du premier niveau phréatique, ensuite du deuxième et puis du troisième, ces eaux ont été utilisées au-dessus du sol et sont devenues partiellement usées (à des engrais chimiques, par la pollution industrielle, les eaux ménagères etc.), mais elles n’ont pas été traitées et on les a déversées dans le désert, parfois à des débits d’environ 14.000 m3/jour.
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Après cinq années de pluies abondantes, les barrages débordent et les oasis renaissent.
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Deux degrés Celsius. Derrière l'objectif affiché de la communauté internationale - limiter à 2°C le réchauffement du climat terrestre, par rapport à la période préindustrielle - se cache un épineux problème scientifique. Une question opportunément remise sur le devant de la scène par la revue Science alors que s'ouvrait, lundi 28 novembre à Durban (Afrique du Sud), la conférence des Nations unies sur le climat.
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Des astronomes de la NASA ont annoncé lundi 5 décembre avoir découvert une planète semblable à la Terre, à l'extérieur du système solaire, dont la taille et la distance qui la sépare de son étoile rend «habitable». En outre, elle se trouve à une distance de 600 années-lumières de notre système.