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Un ancien météorologiste de la NOAA raconte des années de censure pour masquer l’effet des « cycles naturels »

Pierre Gosselin De Notricszone: Un ancien météorologue de la NOAA dit que « les employés étaient priés de ne pas parler des cycles climatiques naturels ».

David Dilley, ancien météorologue de la NOAA, raconte comment pendant 15 ans de travail sur le changement climatique anthropique , il a été poussé à ne pas aborder les cycles naturels du climat et dans le même temps, des travaux sur ces cycles naturels ont été activement supprimés.Des subventions reliant le changement climatique à une crise non naturelle ont été annoncées, tandis que le mot a circulé auprès chefs des départements que de citer les cycles naturels menacerait le flux des dits fonds publics. Des discours sur les cycles naturels ont été mystérieusement annulés à la dernière minute avec des excuses bizarres.

Mais des emplois sont en danger, pour ne pas perdre leur emploi et retraite, personne ne peut citer de noms.

Nous pouvons corroborer les remarques de David Dilley. En effet, il n’est probablement juste qu’un des nombreux sceptiques cachés dans les rangs de la NOAA. Chemin retour, en 2007, David Evans a reçu un courriel d’un membre de la NOAA de l’époque, il a commencé à parler publiquement du hotspot manquant. L’employé a déclaré, remarquablement: « En tant que météorologue et travaillant pour snip, ( le nom de la division), il a été clair pour moi, ainsi que pour tous les autres scientifiques de la NOAA dont je vais taire les noms, que l’homme ne peut pas être la principale cause du réchauffement climatique et que les prédictions moroses en raison de la hausse des températures sont ridicules « .

Donc, il y a probablement de nombreux sceptiques à la NOAA, mais étant donné la position publique uniformément agressive de la NOAA apparemment aucun d’entre eux ne peut parler avant d’être retraité.

Suppression brute de la science …
De P Gosselin du 26. Août 2015

Au milieu des années 1990 les subventions gouvernementales ont été généralement distribuées de manière à indiquer que les conclusions devraient montrer une connexion de l’activité humaine comme la cause du réchauffement climatique . Le résultat: Une grande partie des recherches publiées dans les revues est devenue unilatérale et cela est devenu l’outil d’information principal pour les médias.

Selon certains chercheurs universitaires qui étaient d’anciens chefs de leurs départements, si une université mentionnait les cycles naturels, ils étaient privés de subventions futures, ou perdait des subventions . Et il est de notoriété publique que les employés du gouvernement au sein de la NOAA ont été avertis de ne pas parler de cycles naturels. Il est bien connu que la plupart des départements de recherche universitaire vivent ou meurent via le système de subvention. Quelle belle façon de manipuler les chercheurs en Europe, en Australie et aux États-Unis.

Le phénomène sans y être invité
Dilley a été invité à parler de cycles naturels, mais juste avant l’événement, un mystérieux manque de personnel signifiait que son discours était annulé. Plus curieusement, un discours différent est soudainement apparu à sa place.

« Tout se passait bien et je me préparais pour la conférence. Mais vint la manipulation et la suppression des points de vue. Seulement quatre jours avant la conférence, trois personnes de l’Université du Maine ont consulté notre site web (http://www.globalweatheroscillations.com). Le lendemain matin, à seulement 3 jours de la 29e conférence Juin, je reçu un courriel de Eagle Hill indiquant que ma « lecture est annulée en raison d’une pénurie de personnel ». Après vérification de leur site web, le calendrier note ma conférence comme annulée et qu’elle devrait être remplacée par une différente le 29″.

Quelle est donc cette pénurie de personnel ? Un nouvel organe de presse , « Le Maine Wire », a interviewé le président de Eagle Hill, et il a dit que l’Université du Maine « sentait que certaines personnes dans le public pouvaient être mal à l’aise d’entendre la conférence de M. Dilley ».

Peut-être que les «pénuries de personnel » signifiaient qu’ils ne pouvaient pas embaucher du personnel de sécurité suffisant pour retenir les paquets d’étudiants qui protestaient contre le changement de programmation . Après tout, c’est aussi cela une université.

Traduction et adaptation de la Terre du Futur

source : http://joannenova.com.au/

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