L’effet d’Iris, on en reparle
L'effet d'Iris avait été vu en 2007 sur la Terre du Futur, revoir l'article ici. Cet effet d'iris avait été prévu par Richard Lindzen en 2001, mais fortement combattu par les alarmistes qui reprochaient à Lindzen le nombre insuffisant d'observations prises en compte. Aujourd'hui, où en sommes nous ?
La théorie de l’effet iris tropical de Richard Lindzen : Il s’agit d’une rétroaction négative du climat. Les cumulonimbus (nuages bas) réchauffent la troposphère mais refroidissent la surface, car ils bloquent le rayonnement solaire. Les cirrus (nuages hauts) absorbent et réémettent le rayonnement terrestre sortant (IR long), et contribuent donc à l’effet de serre, tout en réfléchissant peu le rayonnement solaire entrant. Selon l’effet iris de Richard Lindzen, en réaction à un réchauffement de surface, la vapeur d’eau des zones tropicales humides se condense d’avantage dans les couches ascendantes des cumulonimbus, augmente les précipitations et diminue d’autant la formation des cirrus sur les zones tropicales sèches à partir des enclumes des cumulonimbus .
Une nouvelle période glaciaire attend prochainement la Terre. C’est ce qu’annonce le laboratoire britannique Rutherford Appleton. Les experts affirment que l’activité du Soleil a sensiblement baissé. Une telle situation a pu être observée au XVIIe siècle, alors que l’Europe connaissait de grands froids.
En 2015, le climat dans l’hémisphère Nord va progressivement tourner vers le refroidissement. Ces conclusions ont été faites par Mototaka Nakamura, le spécialiste de l’Agence nationale japonaise pour la recherche marine.
Observatoire Pulkovo en Russie: "nous pourrions rester dans une période de refroidissement qui pourrait durer entre 200-250 ans"