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Le Refroidissement est amorcé

On vient d’apprendre que le Gulf Stream s’était arrêté pendant dix jours en novembre 2004. C’est la première fois qu’un tel événement est constaté. Il alimente bien entendu la thèse selon laquelle le réchauffement climatique aurait pour effet l’interruption du Gulf Stream et l’installation de l’Europe dans un climat beaucoup plus froid que celui qu’elle connaît actuellement — voire dans une nouvelle et brutale “ère glaciaire”.

Les scientifiques se contredisent, les désaccords sont omnis présents, mais voici un article choc…

Thèse :

Le Guardian du 27/10/06 rend compte de la conférence sur le changement climatique qui s’achève aujourd’hui à Birmingham (Royaume-Uni).

Si le programme de la conférence fait une large place aux interrogations, il semble bien cependant que les données inquiétantes s’accumulent, à mesure que les systèmes de détection et de surveillance se mettent en place.

L’information la plus spectaculaire concerne ce qui est arrivé en novembre 2004 : une branche du Gulf Stream s’est complètement arrêtée pendant une période de 10 jours.

On sait que le Gulf Stream est cette circulation d’eau de mer énorme qui apporte des eaux relativement chaudes provenant des tropiques au large des côtes du nord de l’Europe et dont on estime qu’elles contribuent à un réchauffement relatif qui peut atteindre une dizaine de degrés.

« Nous n’avions jamais rien vu de pareil et nous ne comprenons pas. Nous ne pensions pas que c’était possible, » a expliqué Harry Bryden du centre national d’océanographie de Southampton qui a livré l’information lors de la conférence.

Interrogé sur le fait de savoir si cela préfigurait l’arrêt du Gulf Stream, M. Bryden a répondu « je veux en savoir plus avant de l’affirmer. »

Le Guardian explique que, l’an dernier, l’équipe du professeur Bryden avait déjà mis en évidence un affaiblissement de la circulation en Atlantique, estimant que le flot par seconde avait diminué, entre 1957 et 1998, d’environ 6 millions de tonnes, avant de regagner un petit peu de vigueur.

C’est la revue scientifique britannique Nature qui a publié le 1er décembre 2005 les résultats d’une étude menée par Harry Bryden, Stuart Cunningham et Hannah Longworth, du National Oceanography Centre, de Southampton.
Régulièrement (1957, 1981, 1992 et 1998) des navires de recherche et des capteurs effectuent des sondages près du 25e parallèle pour connaître la température de l’eau, la pression, la salinité, la vitesse et la direction des courants de surface et du fond des océans. Ainsi, ils obtiennent une mesure de l’intensité du Gulf Stream.

Ces données valables pour 2004, enregistrent depuis 1957 une baisse de 30% du débit la dérive nord-Atlantique (DNA) qui est passé de 20 millions de tonnes d’eau/seconde à 14 millions de tonnes d’eau/seconde. Si le Gulf Stream, en surface, évolue peu, les courants de retour les plus profonds auraient diminué de 50%. Ces résultats se retrouvent dans certaines simulations océaniques mais dans des proportions plus modestes.

Anti Thèse :

Voici donc une recherche du CEA/CNRS qui apporte des précisions et incertitudes. Cette recherche nous apprend que les désaccords subsistent entre les scientifques, nous apprend également que la fonte des glaciers n’est pas prise en compte dans les modèles du GIEC. Leurs impacts sont extrèmement importants et pourtant ignorés. Nous apprenons encore que Harry Bryden s’est fié à 5 relevés pour apporter ses éléments d’une baisse de 30% de la DNA. Nous apprenons également que le réchauffement global pourrait être plus fort que le refroidissement apporté par le ralentissement du Gulf Stream. Ainsi le refroidissement pourrait être très localisé voir inexistant sur l’Europe.

Synthèse :

Avec les nouvelles données apporter par Harry Bryden, nous pourrons ignorer celles apportées par Le Professeur Peter Wadhams de l’université de Cambrige en Angleterre qui est la personne qui a remis le rapport sur le Gulf Stream à Vienne en avril 2005. Après avoir plongé en sous marin avec la Royal Navy ses conclusions sont édifiantes : Le Gulf Stream s’arrète.

Malgrès tout la communauté scientifique internationale continue être convaincue d’un réchauffement sans fin. Les modèles le prouvent.

Conclusion :

Les modèles du GIEC ne prennent pas en compte la fonte des glaces. Quelle stupeur face à ça ! Comment peut on dire que les modèles sont fiables si un des éléments majeurs du climat est ignoré. Harry Bryden est un imminent scientifique comme l’est le Professer Peter Wadhams. Le rapport de Vienne a démontré un fait. Comment peut on également conclure que les effets d’un arrêt de la DNA (bras majeur du Gulf Stream qui circule vers l’Atlantique Nord) ne puisse pas avoir d’impact sur l’Europe quand on observe des évènements majeurs tel qu’au Dryas ou bien il y a 8200 ans ? Prend on en compte également les effets cycliques du petit age glaciaire qui pointent à l’Horizon ?

Suesscycles

BRUXELLES 08/05/2005 (BELGA) = Les scientifiques qui étudient les changements climatiques ont découvert les premiers signes d’un ralentissement du courant marin Gulf-Stream, qui maintient la douceur des climats en Europe occidentale, avait annoncé début mai 2005 le « Sunday Times ». Cette conséquence de l’effet de serre est un signe précurseur d’une réduction spectaculaire des températures. Ce courant marin apporte de l’eau issue de la partie méridionale de l’océan atlantique vers l’Europe du Nord. Cette eau, réchauffée par le soleil tropical, a un effet bénéfique sur notre climat. Mais les « cheminées » gigantesques qui permettent aux eaux froides d’être remplacées par les eaux chaudes venues du sud semblent, ces derniers temps, avoir complètement disparu à la suite du réchauffement du climat. (NLE)

Et finalement prend on en compte le refroidissement constaté dans le pacifique sud depuis 2004 : Par DENNIS AVERY et ALEX AVERY : Les océans du monde se sont refroidis soudainement entre 2003 et 2005, perdant plus de 20 % de la chaleur du réchauffement global qu’ils avaient absorbés au cours des 50 dernières années. C’est une vaste quantité de  chaleur, puisque les océans contiennent 1.000 fois plus de chaleur que l’atmosphère. Les scientifiques qui ont découvert ce refroidissement disent que la chaleur a été probablement expulsée dans l’espace, puisqu’on ne l’a pas trouvé « stockée » sur terre. 

Comment peut ignorer l’intensité solaire également : Une nouvelle époque glaciaire serait bien en train d’arriver si l’on suit les propos du Dr. Landscheidt. Le pic de ce nouvel age glaciaire serait pour 2030. Mais nous pourrions entrer dedans dès 2012. Le soleil serait en cause dans ce scénario où la planète entrerait dans une phase solaire de très basse intensité. Ce même soleil qui est responsable d’une bonne partie du réchauffement actuel depuis les années 30. Dans le même temps cela pourrait signifier la fin de la sécheresse Saharienne. 

Comment peut on également continuer à considérer les bornes météo fiables ? Les températures atmosphériques relevées dans les stations posent des questions majeures de réelles tendances. En effet des oublis sérieux sont à noter et la tendance serait plutôt à une stabilisation des températures depuis l’an 2000. L’océan joue une tendance bien différente et des changements majeurs pourraient bien avoir lieu en ce moment même…

sources : http://test.dedefensa.org/ / http://w4lk.net/ / http://www.notre-planete.info/

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