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La baisse de l’irradiance solaire continue

Que le Soleil traverse une période d’activité très faible est maintenant connue de tous, ainsi comme, dans d’autres articles, il a été souligné que la durée de ce minimum solaire est vraiment insolite, comme ce n’est jamais arrivé pendant le XXeme Siècle.

L’activité solaire est estimée à travers le nombre de taches solaires qui apparaissent sur la superficie de notre étoile, mais lorsqu’on a introduit les mesures satellitaires, il a même été possible de mesurer directement  la « constante solaire », et également l’irradiance solaire directe qui arrive sur notre Planète.

Nous savons que toute l’irradiance n’arrive pas sur la superficie terrestre, elle est en partie réfléchie par les nuages, les ultras-violet sont absorbés par la couche d’Ozone, en partie absorbée par la vapeur d’eau, pendant qu’une autre partie est réfléchie dans l’espace dû à l’effet d’albedo.

On estime que seulement 1% de l’irradiance solaire a une incidence et doit être disponible pour le maintien de la biomasse, pour la photo synthèse et la chlorofile des plantes qui maintiennent la vie.

Pendant longtemps, on a cru que l’énergie envoyée du Soleil était toujours la même (on la nomma « la constance solaire »), mais depuis qu’on emploie des capteurs satellitaires, on a découvert que ce n’était pas vraiment ça.

Des petites variations de pourcentages ont été observées en coïncidence avec le cycle decennale des taches solaires (cycle de Schwabe) : les capteurs, par exemple, ont montré une variation de l’irradiance de 1362.1 W/mq, en Juillet 2003, à la valeur actuelle de 1360.8 W/mq, avec une baisse de -0.095%.

Il faut penser en effet que la baisse l’irradiance solaire de -0.1%, si cela continue sur plusieurs mois, cela pourrait avoir une certaine influence sur le climat terrestre, en provoquant une léger baisse thermique.

Des études ont été effectuées et ont établi que la différence dans la constance solaire, pendant le minimum de Maunder, est intervenue au XVII eme siècle (c’est une période où ne furent observées aucune tache solaire).

Tel quantitatif fut peut-être décisif pour provoquer un climat moyennement plus froid qu’au moins 1,0° ; 1,5°C par rapport aux températures actuelles, ainsi que provoquer des forts vagues froid de d’hiver sur notre Continent (les Tamigi gelait autrefois chaque 10 ans).

Actuellement, la constance solaire est à la tendance à la baisse, comme bien visible dans le graphique ici même. Nous sommes arrivés à un minimum de 1360.79 W/mq, contre les 1362.10 W/mq du Juillet 2003, baisse de 1.31 W/mq, qui est en mesure d’annuler partiellement le surplus de 2.0 W/mq qui est estimé pour la présence de CO2 dans notre atmosphère.

Il est evident, toutefois, qu’une augmentation de l’activité solaire, comme cela s’est produit depuis soixante-dix ans, cela pourrait avoir été développé par la constante solaire d’environ 1.3-1.5 W/mq cette période, probablement en contribuant à l’augmentation thermique actuelle en surplus de l’augmentation de la concentration de CO2.

Il a même été souligné une théorie controversée, qu’elle montrerait, que lors des minima solaire, un vent solaire moins puissant permettrait l’entrée d’une majeure partie d’une quantité de rayons cosmiques sur notre atmosphère.

Cela apporterait plus de nuages qui réfléchiraient l’irradiance solaire en refroidissant notre Planète.

Cette théorie n’a pas été encore démontrée ; le fait est que le Global Warming est actuellement en phase de stabilisation, malgré l’augmentation constante des gaz à effet de serre.

Traduction, résumé, adaptation de la Terre du Futur

source : http://www.meteogiornale.it/

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