Un monde en désarroi
Notre monde ne serait il pas en désarroi pour se poser des questions aussi dérangeantes : Climat : effondrement planétaire avant 2100 ? Etrange article apocalyptique dans la revue « Nature ». Il relate une étude réalisée par la Simon Fraser University de Vancouver au Canada. Un chercheur prédit l’effondrement de la planète avant la fin de ce siècle. Selon Arne Moers et son équipe, la rapidité du changement de la biosphère pourrait avoir une issue fatale d'ici à 2100.
Un puissant séisme a secoué, le 19 juin 2012, au large des Îles Aléoutiennes de l'Alaska, mais n'a pas généré un tsunami du Pacifique à l'échelle, ont indiqué des responsables. Justement c'est dans cette zone que le risque est élevé. Le tsunami qui a dévasté le Japon le 11 mars 2011 était largement au dessus des normes habituelles de notre époque. Mais cela ne pourrait pas être le dernier.
Des cellules photovoltaïques liquides, l’avenir du solaire ? La peinture solaire, on en reparle. Nous avions déjà vu ce sujet qui semble extrêmement prometteur :
Nova Cidade de Kilamba est une ville flambant neuve, faites de bâtiments aux couleurs vives et impeccables, construite en moins de trois ans à une trentaine de kilomètres de Luanda, capitale de l'Angola. Nova Cidade de Kilamba est également à peu près vide, une ville fantôme bâtie par une compagnie d'Etat chinoise – China International Trust and Investment Corporation (Citic) – pour la modique somme de 3,5 milliards de dollars. Où sont passés les 500 000 personnes que peut accueillir ce complexe urbain qui dénote tant aux alentours de la capitale angolaise ?
Sur le front climatique, les bonnes nouvelles sont suffisamment rares pour mériter un peu d'attention. La dernière en date est une étude conduite par Ghislain Picard, enseignant-chercheur au Laboratoire de glaciologie et de géophysique de l'environnement (CNRS, université Joseph-Fourier de Grenoble), publiée, lundi 2 juillet 2012, dans la revue Nature Climate Change et qui suggère qu'une bonne part du réchauffement de l'Antarctique sera évitée grâce à de subtiles variations de la couleur de la neige. Ou, plus exactement, grâce à l'évolution de la taille des petits grains qui la composent.
Quarante-neuf anciens employés de la Nasa reprochent à l’agence américaine d’avoir défendu l’idée selon laquelle le réchauffement climatique serait dû à des causes humaines.