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L’inclinaison Terrestre va nous refroidir

Depuis le début des années soixante-dix, la vitesse du pôle Nord magnétique s’est accélérée de façon remarquable, passant de 9 à 41 km/année. Plus l’inclinaison terrestre est importante plus cela favorise un climat froid. Le pôle magnétique s’accélérant et s’orientant vers la Sibérie, son inclinaison va s’accentuer et le climat terrestre connaître un refroidissement inévitable. Si la Terre est dans une période de forte inclinaison par rapport au Soleil, alors les saisons seront très marquées (différences importantes entre été et hiver) et à l’inverse une faible inclinaison homogénéise les saisons (peu de différences entre l’été et l’hiver).

Ceci est clairement visible sur le graphique qui montre la vitesse moyenne entre les observations en fonction du temps. L’accélération a elle-même cru, passant de 0,22 km/(année)2 à 2,21 km/(année)2. Un changement dans la vitesse du pôle Nord magnétique se traduit par un changement correspondant dans l’inclinaison et la composante horizontale du champ magnétique (H). Les données de l’observatoire le plus rapproché du pôle Nord magnétique, l’Observatoire de Resolute Bay, montrent que le taux annuel de variation de H s’est accru d’environ 10 nT/année à presque 70 nT/année, au cours du dernier demi-siècle (partie supérieure de la figure). Cette augmentation n’a pas été uniforme. Une série de sauts sont survenus autour de 1970, 1979 et 1990.

On appelle «impulsions géomagnétiques» ou «saut de la variation séculaire», les changements brusques du champ magnétique par rapport à sa variation séculaire. On a recensé six sauts au cours du siècle dernier : en 1901, 1913, 1925, 1969, 1978 et 1992. Les trois derniers sauts sont clairement visibles sous la forme d’une variation abrupte de la pente de la variation annuelle de H, à Resolute Bay. Le saut de 1969 correspond au début d’une accélération du pôle Nord magnétique et les deux secousses ultérieures, en particulier celle de 1992, semblent être corrélatives à une nouvelle accélération.

Entre 1831 et 1904, la position du pôle Nord magnétique semble être stable, contrairement au mouvement accéléré observé de nos jours. Il semble hautement improbable que le pôle soit resté immobile pendant 73 ans, mais nous ne disposons d’aucune observation directe permettant de mesurer ses déplacements lors de cette période. Nous pouvons toutefois déduire la trajectoire passée du pôle à partir des modèles harmoniques sphériques produits pendant cette période. Le graphique montre les positions du pôle Nord magnétique calculées à tous les 20 ans pour la période 1820-1920, à partir des modèles de Jackson et de ses collaborateurs. Par rapport aux observations, les positions du modèle sont légèrement décalées vers le nord-ouest. Si nous ajustons la trajectoire pour la faire concorder avec les positions observées, nous trouvons que le pôle a atteint sa latitude la plus australe, 68,8°, en 1860. C’est une donnée importante, puisque l’on soupçonne qu’une secousse magnétique a eu lieu en 1860.

On peut utiliser les modèles harmoniques sphériques pour calculer la position du pôle Nord magnétique jusqu’en 1600. Nous ne disposons pas d’assez d’observations pour calculer des modèles crédibles pour les époques antérieures. Il semble qu’entre 1760 et 1860, le pôle Nord magnétique se soit déplacé de 860 km vers le sud-est. Auparavant, il était situé dans une région restreinte autour de 75° de latitude Nord et 110° de longitude Ouest.

Aujourd’hui, le pôle magnétique se dirige vers le pôle géograhique. Le pôle Nord (magnétique) a quitté il y a deux ans le Canada. Au rythme et en fonction de sa direction actuelle, il devrait atteindre la Sibérie dans « environ 50 ans », a déclaré M. Newitt à l’AFP. « Il se retrouverait alors au large de l’île Severnaja Zemlja (terre du Nord) ». « Mais il n’y a jamais rien de sûr », a-t-il dit. « Il pourrait changer de direction, ralentir ou rebrousser chemin ».

Explication mathématique de Zat :

Et si l’inclinaision terrestre était plus rapide que prévue, et si les calculs étaient erronés. Une obliquité de l’écliptique qui s’incline entre 21°59′ et 24°50’sur l’équateur céleste en 41000 ans. Il est aujourd’hui de 23°27’et décroît de 0.59″/an.

Dans les facteurs majeurs du refroidissement ou du réchauffement de la terre, nous pouvons citer :

D’un premier temps le Soleil et le noyau terrestre.

En second l’obliquité de l’axe de rotation, précession des équinoxes et l’excentricité de l’orbite terrestre.

En troisiéme les océans et le gulf stream.

Les causes d’un refroidissement : Pour le Soleil nous savons qu’ils génèrent des cycles d’hyperactivité et d’hypoactivité qui varient de 70 à 90 ans et que nous sommes à la veille d’une entrée d’hypoactivité. En deuxiéme point la décroissance de l’inclinaison terrestre qui n’est pas à négliger. Troisiéme point les océans qui chauffent et la fonte limitée des glaces due à l’hyperactivité du soleil et nous savons qu’il va entrer en hypoactivité.

Ce qui signifie la diminution de la chaleur océanique dans les 70 prochaines années et qui engendrera une expansion des eaux froides qui favoriserait la diminution du taux de CO2 dans l’atmosphère. Ce qui résume un refroidissement de l’effet de serre.

A propos du noyau intérieur qui est en surchauffe à 7800° dans le cycle d’hyperactivité solaire, nous pouvons cèrtifier donc que dans le temps, il va se refroidir pour retrouver son état initial qui est de 5500° en moyenne dans le cycle d’hypoactivité solaire mais en plus l’obliquité terrestre qui est en décroissance amplifira le phénomène du refroidissement du noyau.

Nous savons que la terre dans son minimum d’inclinaison, les rayonnements solaires sont moins directs sous nos latitudes. Donc des étés frais et des hivers doux, contrairement à son maximum les rayonnement sont moins directs donc des étés chauds et des hivers froids. Une faible valeur de cette inclinaison favorise une période glaciaire.

Je m’explique :

Nous savons que la terre passe au périhélie en janvier et l’aphélie en juillet. Les étés sont donc moins chauds ce qui limite la fonte des glaces, les hivers doux ce qui favorise les chutes de neige (haute latitude). Donc un périhélie en hiver est donc favorable à une glaciation, de plus l’inclinaison décroit actuellement, mais là certains scientifiques sont fachés sur l’optimum et le minimum d’inclinaison qui sont pour certains de (21.59 à 24.36) et d’autres de (21.59 à 24.50).

Ca fait peu de différences entre (24.36 ou 24.50) qui ne fait que (0.24°). Mais vous savez, ça représente entre 3381.44 ans à 4152 ans, c’est beaucoup à l’échelle humaine. C’est pour cela que la dessus il faut qu’ils soient d’accord, mais mon avis personnel, c’est que je me suis plutôt basé sur (21.59 à 24.50). Donc cette obliquité varie de 1 minute en 153 ans soit 0,59 seconde par année, en degré cela représente 0.01° sur 140.89 ans et de 0.00007° par année. Le minimum qui est de 21.59° sera atteint dans 23670,11 ans pour le maximum de la glaciation.

Je vous explique le calcul sur la base de 21.59 à 24.50, il y a un total de 2.91° sur 41000 ans. Nous savons qu’actuellement on est à 23.27° donc 24.50 – 23.27 est égal à 1.23°. Donc 41000 divisé par 2.91° est égal à 14089.35 ans pour 1°, donc 14089.35 multiplié par 1.23° est égal à 17329.90 ans. La terre était à son maximum d’inclinaison il y a 17329.90 ans.

Reprenons les 23.27° – 21.59° est égal à 1.68° donc 14089.35 multiplié par 1.68° est égal à 23670.11ans. Ce que je déduis qu’elle devra atteindre son minimum dans 23670.11 ans. Ensuite 14089.35 divisé par 100 est égal à 140.89 ans donc elle se décline de 0.01° sur 140.89 ans et pour trouver par année il suffit de divisé 0.01° sur 140.89 qui est égal à 0.00007 par année.
Je vous explique ce calcul en degré pour que tout le monde comprennent car en minutes et secondes peu de gens comprendront. De toute façon c’est plus compréhensible en degré vu que le minimum et maximum d’inclinaison sont en degrés donc autant donner l’explication sur la même valeur.

Conclusion :

Enfin, tout ceci explique que des variations minimes de la terre peuvent engendrer des variations majeures sur le climat. Sans oublier du facteur dominant que sont le soleil, et le noyau terrestre .
Il y a trop de signes, de paramètres qui se concordent qui nous font penser que nous allons plutôt vers un refroidissement climatique et que nous sommes plutôt dans le début. Ainsi cela prendra des milliers d’années avant que la glaciation soit à sont maximum. Zat

Mot de Tdf « Cet article a été écrit par Zat en 2007, et Tdf ne peut valider cette thèse, ni être en accord. En effet cet article comporte de nombreuses erreurs d’appréciation et de reflexion. Merci de votre compréhension. »

sources : http://gsc.nrcan.gc.ca / http://ataraxie.free.fr/ / http://letriplew.org/ / http://fr.wikipedia.org/

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