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Élévation du niveau de la mer est « le plus grand mensonge jamais dit »…

Voici le verdict, sans concession du Dr Mörner, qui nous indique que tous ces discours sur la mer qui montent ne sont rien mais c’est une histoire d’une peur colossale, écrit Christopher Booker.

Si une chose est plus que tout autre utilisée pour justifier les propositions que le monde doit passer par des dizaines de milliers de milliards de dollars à la lutte contre le réchauffement climatique, c’est la croyance que nous sommes confrontés à une hausse catastrophique du niveau des mers. Les calottes glaciaires de l’Antarctique et du Groenland fondront, nous dit-on, le réchauffement des océans augmenteront, et le résultat sera une catastrophe.

 

 

Le Groupe d’experts intergouvernemental (GIEC) de l’ONU, sur les changements climatiques, prévoit que l’élévation du niveau de la mer de 59cm (17 pouces) en 2100. Al Gore, dans son film oscarisé Une vérité qui dérange, est allé beaucoup plus loin, en parlant de 6 mètres (20 pieds), et montre l’infographie des villes comme Shanghai et San Francisco à moitié sous les eaux. Nous connaissons tous le graphique montrant le centre de Londres en situation similaire. Quant aux petits pays insulaires comme les Maldives et Tuvalu, comme le prince Charles ainsi que l’archevêque de Canterbury ont été dire : « elles vont disparaître. »

Mais s’il y a un scientifique qui en sait plus sur le niveau des mers, plus que quiconque dans le monde, c’est le géologue et physicien suédois Nils-Axel Mörner, ancien président de la Commission internationale de l’INQUA sur Level Sea Change. Et le verdict est sans concession selon le Dr Mörner, qui pendant 35 ans a utilisé chaque méthode scientifique connue pour étudier les niveaux de la mer dans le monde entier, est que tous ces discours sur la mer qui monte n’est rien d’autre qu’une histoire d’une peur colossale.

Malgré les fluctuations, à la baisse comme à la hausse, « la mer ne monte pas, » dit-il. « Il n’a pas eu de réelle augmentation depuis 50 ans. » S’il y a une augmentation dans ce siècle, elle ne sera «pas plus de 10 cm (quatre pouces), avec une incertitude de plus ou moins 10 cm ». Et tout à fait en dehors de difficile preuve à examiner, dit-il, les lois élémentaires de la physique (chaleur latente nécessaire pour faire fondre la glace) nous disent que l’apocalypse évoqué par Al Gore et Co ne pouvait pas se produire.

La raison pour laquelle le Dr Mörner, ancien professeur de Stockholm, est donc certain que ces revendications sur l’élévation du niveau de la mer sont à 100 pour cent fausse, c’est qu’ils sont toutes basées sur les prédictions de modèles informatiques. Alors que les résultats du Dr Mörner sont basés sur « l’observation sur le terrain de ce qui se passe réellement dans le monde réel « .

Une de ses découvertes, les plus choquantes, du pourquoi le GIEC a pu montrer le niveau des mers à la  hausse de 2,3 mm par an : Jusqu’en 2003, même la preuve par satellite n’a pu montrer aucune tendance à la hausse. Mais soudain le graphique a été incliné vers le haut parce que les experts  du GIEC avaient influencé sur la découverte d’un seul marégraphe dans le port de Hong Kong avec une hausse de 2,3 mm. L’ensemble de la projection globale du niveau de la mer a ensuite été ajusté à la hausse par un « facteur de correction » de 2.3mm. Ainsi les scientifiques du GIEC ont admis nécessaire de montrer une tendance.

Quand j’ai parlé au Dr Mörner, il a exprimé sa consternation de la manière continue dont le GIEC a alimenté la peur sur cette question cruciale. Lorsqu’on lui a demandé d’agir comme un «examinateur expert  » sur les deux derniers rapports du GIEC, il était «étonné de constater que pas un seul de leurs 22 auteurs qui ont contribué à l’étude, étaient un spécialiste de niveau de la mer: pas un ! ». Pourtant, les résultats de toute cette «ignorance délibérée» et le recours à des modèles informatiques truquées et sont devenus dans l’ensemble le plus puissant moteur unique de l’hystérie des « réchauffistes ».

Traduction et adaptation de la Terre du Futur

source : http://www.telegraph.co.uk/

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