Quand le réchauffisme fond comme neige au soleil
Pour faire suite à l'article de la fonte du Groenland ICI.
Réchauffement climatique : enfin le dégel ? : Comme l’a déclaré solennellement devant le Sénat Américain l’honorable Al Gore, notable investisseur sur le marché juteux du Crédit Carbone, en matière climatique, « the science is settled », et, comme l’a fort opportunément rappelé le non moins honorable ingénieur ferroviaire M. Rajendra Pachauri, également très impliqué dans la gestion de fonds carbones (et accessoirement Président du GIEC), toute tentative de remettre en question la théorie du réchauffement climatique ne serait que « science vaudou ».
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Voici une réflexion des plus pertinentes du
Une nouvelle étude scientifique autorisée contredisant le ''consensus scientifique'' semeur d'alarme est sortie au mois de mai 2012, qui montre que la période de réchauffement bien documentée ayant eu lieu au Moyen -Âge ne s'est pas limitée à l'Europe, ou même à l'hémisphère nord : elle est allée jusqu'à l'Antarctique.
Le débat scientifique sur le réchauffement climatique n'est pas clos. Il est légitime que les scientifiques débattent de ce sujet. Il est légitime que chaque scientifique soit convaincu du bien-fondé de sa thèse.
Deux degrés Celsius. Derrière l'objectif affiché de la communauté internationale - limiter à 2°C le réchauffement du climat terrestre, par rapport à la période préindustrielle - se cache un épineux problème scientifique. Une question opportunément remise sur le devant de la scène par la revue Science alors que s'ouvrait, lundi 28 novembre à Durban (Afrique du Sud), la conférence des Nations unies sur le climat.
Les prévisions du GIEC sont essentiellement basées sur les résultats des modèlisations numériques sur ordinateurs. La hausse probable de la température de l'atmosphère terrestre se situera entre 1,8 et 4 degrés Celsius, voire 6,4 degrés pour certains modèles numériques. Les variations thermiques sont essentiellement liées à des hypothèses sur le rôle du CO2. La glace de mer de l'Arctique disparaîtra en 2060 pendant l'été. Les cyclones et vagues de chaleur dans les zones tropicales augmenteront. La hausse du niveau des mers sera de : 0,18 à 0,59 mètres et beaucoup plus selon certains modèles numériques : 5 mètres. La finalité d'un tel scénario sur du très long terme, sur plusieurs siècles, serait donc la vidéo suivante. C'est ce scénario que l'on ne peut reconnaître sur la Terre du Futur.