La Terre et la Foudre
Lorsque le champ électrostatique dépasse les limites diélectriques de l'air (variables selon les conditions d'humidité et de pression), il s'ensuit la décharge de foudre conduisant à un ré-équilibre électrostatique :
le traceur ou précurseur, transportant une faible charge électrique, avance vers une zone de charge opposée à une vitesse de l'ordre de 200 km/s, créant ainsi un canal ionisé. Dans le cas d'une décharge négative, ce précurseur progresse par bonds de longueurs proportionnelles à l'amplitude de la décharge. C'est ce phénomène que tentent d'exploiter les paratonnerres.
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Tout le monde connaît la théorie qui incrimine la production humaine de CO2 pour expliquer les variations de température des cent dernières années. Cependant, peu de personnes savent que cette théorie connaît de graves difficultés pour expliquer les observations présentes et passées, et qu’une autre théorie beaucoup plus proche de la réalité existe. Cette théorie est notamment développée et défendue par Nir Shaviv, Professeur de physique à l’Université Hébraïque de Jérusalem.

Les émissions de CO2 n'ont pas un si grand effet sur le climat comme on le pensait précédemment, selon une nouvelle étude menée par des chercheurs norvégiens.
Depuis environ vingt ans, on pensait que la Lune avait probablement joué un rôle stabilisateur indispensable pour l’axe de la Terre, assurant un climat propre à l’évolution de la vie pendant des centaines de millions d’années. Il n’en serait rien, ce qui voudrait dire que les chances de trouver une vie sur une exoterre sont maintenant revues à la hausse.
Nikolaï Dobretsov, président du Conseil unifié des sciences sur la Terre (section sibérienne de l’Académie des sciences de Russie) a ainsi déclaré le 26 mars 2012 que la prévision d’un réchauffement climatique ininterrompu ne se justifie pas. A l’appui de sa thèse, il avance l’évolution de la calotte polaire de l’Arctique. Nikolaï Dobretsov estime que, pendant le 21ème siècle, les glaces du pôle Nord subiront des phases successives de décroissance et de croissance sous l’effet de périodes de réchauffement et de refroidissement. « Vers la fin de ce siècle, un refroidissement climatique aura lieu et non pas un réchauffement, telle est la prévision actualisée », a-t-il affirmé.