Par Jean-Pierre Bardinet.Voici 22 raisons de douter des thèses du GIEC.
Voici 22 raisons de douter des thèses du GIEC.
Par Jean-Pierre Bardinet.
Selon le discours officiel du GIEC, « la science a parlé », et tout opposant sceptique est passible d’être ostracisé. Car il faut faire vite, et cela fait plus de 20 ans que l’on nous rabâche qu’il y a extrême urgence et que la Planète ne pourra plus être sauvée d’ici trois à cinq ans (et même 500 jours selon Laurent Fabius !…) , sinon la Planète risque de devenir une « poêle à frire » (sur le feu, bien sûr) si nous ne réduisons pas drastiquement nos émissions de CO2, à n’importe quel prix, même au prix de la décroissance, de la misère et de la ruine de nos économies.
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Les personnes averties du sujet auront certainement suivi la dernière publication de Michael Mann où l'on peut lire ce qui suit :
2036 pourrait être une année charnière dans l’histoire du réchauffement climatique. Selon les calculs du climatologue Michael Mann, c’est en 2036 que la température à la surface de la Terre atteindra un seuil dangereux pour nous, humains. Il détaille ses recherches dans un article de Scientific American.
Le modèle arithmétique de Michael Mann, bien qu’expliqué par le scientifique, reste un vrai casse-tête. Mais dans une précédente publication, le climatologue expliquait pourquoi 2036 représentait, selon lui, l’année critique. Nous verrons sa fameuse courbe de Hockey, le scandale qui y rattaché ainsi que l'activité solaire décroissante actuelle qui démontre les erreurs d'appréciation de Michael Mann.
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