Des chercheurs découvrent « le Graal » contre les batteries qui se déchargent trop vite
Vous êtes du genre à pester contre la batterie de votre téléphone qui se décharge en moins de vingt-quatre heures ? Bonne nouvelle, jamais les chercheurs n'ont été aussi proches de résoudre ce problème.
Dans un article publié dans la revue scientifique Nature Nanotechnology, propriété de la prestigieuse revue Nature, des chercheurs de l'université Stanford (Etats-Unis), dont un Prix Nobel, ont annoncé avoir fait une découverte permettant d'augmenter significativement la capacité des batteries électriques actuelles. Leur secret ? Ils ont réussi à mettre au point une anode de lithium pur.
SunPartner Technologies veut produire un textile intelligent, qui produira de l’énergie à partir de la lumière naturelle ou artificielle. Objectif du projet Soltex ? Créer un fil textile photovoltaïque pouvant s’intégrer dans les nappes de fils standards lors de la fabrication du textile. Ce procédé devrait afficher un rendement plutôt faible : de l’ordre de 10 à 20 W/m². Néanmoins, les applications pressenties sont multiples : vêtements de professionnels en extérieur, stores, bâches de protection, équipements de sport, filets de protection dans les serres agricoles… pourraient fonctionner en étant autonomes en énergie.
Une nouvelle invention pourrait bientôt débarquer : celle des couches de bébés en chair de méduses. Explications...
De nombreuses innovations se développent actuellement dans le secteur du bâtiment pour tirer profit de l’énergie solaire. Elles peuvent concerner le vitrage des installations, les façades ou bien encore… les panneaux solaires, on assiste à l’apparition d’un nouveau système qui capte lui aussi l’énergie solaire : les tuiles solaires.
Un sac plastique met jusqu'à 450 ans pour se dégrader dans l'eau. Les déchets ne sont pas rapidement assimilés par la mer. Il faudra attendre des siècles pour voir disparaître des piles (jusqu'à 200 ans) et pour les bouteilles en verre, le ministère du Développement durable précise même qu'on ignore le temps nécessaire pour qu'elles se biodégradent.
A Londres, trois étudiants dont deux français ont inventé une bulle d'eau comestible. Cet emballage surprenant pourrait remplacer la traditionnelle, moins polluante qu'une bouteille d'eau. Fabriquée à base d'algues et entièrement ingérable cette gourde écologique porte le nom de Ooho.