Articles sur la Pollution
L’assombrissement global ou obscurcissement planétaire, en anglais Global Dimming, modifie notre climat depuis les années 1950. L'assombrissement, mis en évidence pour la première fois par Gerald Stanhill, biologiste israélien, est la réduction de l'intensité lumineuse qui atteint la Terre en journée. L’assombrissement crée un refroidissement qui vient contrecarrer l’effet de serre qui réchauffe notre climat.
(Naraha, Japon) Dans le no man's land radioactif autour des ruines de la centrale nucléaire de Fukushima, au Japon, on ne trouve que des villes fantômes, toujours évacuées trois ans et demi après le séisme et le tsunami meurtriers de mars 2011. La vie est suspendue pour plus de 100 000 habitants de la région, entassés dans de déprimants centres d'hébergement temporaires dans les villes avoisinantes. Notre journaliste a rencontré ces réfugiés nucléaires.
Ici documents photos de zones fantômes...
L'activité des dépressions au-dessus du Pacifique est renforcée par les microparticules asiatiques.
Les épisodes récents de pollution atmosphérique en France et ceux récurrents en Asie ont rappelé les effets néfastes des particules sur la santé des populations. Mais les scientifiques s'intéressent aussi à leur rôle dans la formation des nuages et leur impact sur les phénomènes météorologiques et climatiques.
Dorénavant, les médias relatent quotidiennement les problèmes environnementaux. Les occasions sont malheureusement devenues multiples et la pollution atmosphérique s'impose comme un sujet qui touche de plus en plus les citoyens. Car la pollution n'est pas seulement une gêne visuelle ou olfactive mais désormais le principal risque environnemental pour la santé dans le monde. En effet, elle cause en moyenne chaque année la mort prématurée de 7 millions de personnes dans le monde dont 600 000 en Europe et 40 000 en France, selon l'Organisation Mondiale de la Santé et le Ministère du Développement Durable.
Alors que le nord du pays vit depuis une semaine dans un smog écœurant, les autorités s'emploient à minimiser le problème.
«Le smog est si épais que je n’arrive plus à distinguer l’immeuble en face de chez moi. Je n’ose plus mettre le nez dehors, ça me rend malade», raconte Gao, une journaliste retraitée qui vit dans la banlieue de Pékin. Le taux de concentration des microparticules dans l’air de la capitale tourne depuis une semaine autour de 400 à 500 microgrammes par mètre cube – soit 16 à 20 fois le maximum conseillé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). «Les gens sont de plus en plus exaspérés», note Gao.
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