Un rapport du Met Office révèle que le réchauffement s’est arrêté depuis 16 ans
Le Réchauffement global s'est arrêté il y a 16 ans, révèle le rapport du Met Office qui a été discrètement publié la semaine dernière et voici le diagramme pour le prouver.
Les chiffres révèlent que, dès le début de 1997 jusqu'à Août 2012, il y a pas eu d'augmentation perceptible des températures mondiales. Cela signifie que la «pause» du réchauffement climatique perdure depuis presque la même durée que la période précédente, lorsque les températures ont augmenté, de 1980 à 1996.

Les météorologues de l'université de Reading, en Grande-Bretagne, n'annoncent rien de bon. L'été pourri qui a sévi cet été dans le nord de la France jusqu'à la mi-juillet pourrait se répéter - la pluviométrie a été encore beaucoup plus importante outre-Manche. Même chose pour la canicule et la sécheresse qui ont frappé le Midi durant la même période: l'Italie, l'Espagne et les Balkans ont encore beaucoup plus souffert. «Les tendances actuelles marquées par des étés humides en Europe du Nord et des étés chauds et secs dans le sud de l'Europe pourraient continuer aussi longtemps que durera la phase chaude de l'oscillation atlantique décennale», estiment Rowan Sutton et Buwen Dong. Ils publient les résultats de leur étude dans la revue Nature Geoscience .
Notre seul but par ce genre de billet qui suit est de démontrer par des déclarations de scientifiques, que le prétendu consensus sur les conclusions climatiques émises par le GIEC, n‘existe pas. D’autres citations contredisent certaines idées reçues.
Voici la preuve que les changements de la circulation stratosphérique pourrait entraîner des changements océaniques, et donc des changements climatiques. La Stratosphère cible la haute mer et peut façonner le climat. Cela serait donc le «Talon d'Achille» de l'Atlantique Nord.
Jusqu'au milieu des années 1990, la communauté des scientifiques étudiant le climat, sa variabilité et son évolution future était largement distincte de celle étudiant la stratosphère. La vision commune justifiant le peu d'intérêt des climatologues était que la stratosphère, qui ne représente que 10 à 20% de la masse atmosphérique, ne pouvait pas avoir une influence substantielle sur la troposphère. Cependant, il apparaît clairement aujourd'hui que la variabilité de la troposphère influence celle de la stratosphère et vice-versa.