Il y a une confirmation, désormais, d’une solide relation soleil et températures basée spécifiquement sur la température diurne maximale. Cela ajoute un poid scientifique fort et indépendant sur une réalité de la relation Soleil-températures.
Les étroites relations entre les maxis ainsi que les minimums de l’activité solaire et les changements brutaux des températures que nous avons identifiées qui se produisent localement dans les régions côtières du Groenland, les régions du Pacifique Arctique et de l’Atlantique Nord, pour résumé sur l’ensemble de la région du cercle Arctique. Cela suggère fortement que les les variations du rayonnement solaire entraînent des changements des températures à l’échelle d’un hémisphère.
Les corrélations, étroites comme celles-ci, n’existent tout simplement pas pour la température et le changement atmosphérique dans la concentration des Gaz à effet de serre. En particulier, il n’existe pas de coïncidence entre la hausse constante de la mesure globale de la concentration du CO2 dans l’atmosphère et les changements souvent drastiques de la température dans le monde.
Les recherches en cours, en collaboration avec le professeur R. David legate de l’Université du Delaware, fournissent une explication cohérente pour les corrélations apparentes entre le soleil et le climat. Notre hypothèse implique des échanges de chaleur et d’humidité entre l’équateur et la région arctique.
Une preuve directe existe maintenant et indique que les changements dans l’activité solaire ont influencé ce qu’on appelle le « tapis roulant », la circulation des grands courants océaniques de l’Atlantique, au cours des 240 dernières années. Fait intéressant, il s’avère que les changements solaires axés sur la température et les changements indirects dans le volume d’eau douce libérée dans l’Arctique provoquent des variations des température de surface de l’océan dans l’Atlantique tropical 5-20 ans plus tard. Que ce délai n’a pas été pris en compte dans les études antérieures des relations Soleil-climat.
De nouveaux papiers donnent des résultats scientifiques sur le climat, des relations de soleil résumés ci-dessus, ils sont de nature discordantes et sont obtenues avec des ensembles de données indépendantes provenant de plusieurs groupes de chercheurs différents. Prise dans leur ensemble, ces nouvelles recherches rendent peu plausible l’hypothèse répandue selon laquelle les changements de l’activité solaire ne jouent aucun rôle (ou seulement un rôle insignifiant) dans le changement climatique.
La marque d’une bonne science est de tester des hypothèses plausibles, qui sont ensuite prises en compte ou rejetées par des données recueillies, auprès de soit d’observations ou d’expérimentations. La preuve évidente que les données de BEST nouvellement analysées, et par nos propres études ou d’autres études publiées, sont fortement compatibles avec l’hypothèse que les facteurs solaires sont la principale cause du changement climatique multi décenale, en particulier dans l’hémisphère nord et et dans le cercle arctique.
Soit dit en passant, mais surtout, les données propres BEST qui invalident clairement l’hypothèse alternative que le CO2 est la cause la plus importante de variations de températures observées à travers les États-Unis. En un mot, le climat est en constante évolution et c’est le Soleil qui en est la cause.
La conclusion de la Terre Du Futur qui défend depuis 10 ans ces hypothèses en passant par le professeur Landscheidt, Livingston & Penn ou encore le brillant Vincent Courtillot, nous démontrons à travers des articles que la théorie fumeuse et délirante du CO2 comme principal moteur du changement climatique n’est pas rigoureuse, et plausible. Au contraire à travers cet article nous démontrons que l’activité solaire va conduire la Planète à un refroidissement du climat sur plusieurs décennies, ce refroidissement se met déjà en place depuis quelques années. La Terre ne se réchauffe plus depuis 1997, les cycles océaniques entrent dans leur phase froide (Pacifique depuis 2008, Atlantique d’ici à 2020, le soleil va entraîner un ralentissement non négligeable du Convoyeur océanique dans l’Atlantique-Nord, les hivers seront au fil des ans de plus en plus rigoureux, nous en connaissons les prémices depuis 5 ans déjà.
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