La Nasa annonce que l’on va remarcher sur la Lune en 2024, et une femme va y mettre les pieds
L’agence spatiale américaine a signé un contrat de 2,7 milliards d’euros avec Lockheed Martin pour construire les capsules Orion qui transporteront les astronautes vers la Lune. Un contrat qui permet de garantir une mission habitée sur la Lune dès 2024.
Ces trois premières capsules, prévues pour les missions Artemis III à V, pourront embarquer quatre astronautes chacune pendant trois semaines.
Le « module de service », partie du vaisseau qui comporte les principaux éléments permettant de maintenir les astronautes en vie pendant le vol, a été confié à l’Agence spatiale européenne et à Airbus.
En outre, ces capsules Orion devraient pouvoir s’amarrer à une mini-station spatiale, le Gateway, pour des missions durant jusqu’à six mois ou servir de relais à l’avenir vers des missions vers Mars.
Autre particularité : pour limiter les coûts, une partie des capsules pourra être réutilisable dans la fabrication des engins suivants.
La première mission Artémis avec un vol non habité est prévue en 2020. Le premier vol habité de la mission Artémis II pourrait intervenir en 2022.
Une Femme sur la Lune
L’administrateur de la Nasa, Jim Bridenstine, s’est engagé à débarquer une femme astronaute sur la Lune d’ici cinq ans dans le cadre d’un nouveau programme appelé Artemis. Il a déclaré que le fait de voir la première femme atterrir sur la lune inspirerait une nouvelle génération de jeunes filles à travailler dans l’industrie spatiale. Bridenstine a déclaré que l’histoire des atterrissages sur la lune montrait que peu d’opportunités étaient offertes aux femmes, mais a décrit la génération actuelle d’astronautes comme « très diverse ».
https://twitter.com/JimBridenstine/status/1128086110247235584
Notre mission #Moon2024 porte le nom d’Artemis, une soeur d’Apollo et déesse de la Lune. Nous sommes ravis d’amener la première femme et le prochain homme sur la surface de la Lune d’ici 2024.
«Et si nous regardons l’histoire des atterrissages sur la lune, il s’agissait de pilotes d’essai des années 1960 et 1970, de pilotes de chasse et il n’y avait aucune opportunité pour les femmes à l’époque. « Ce programme va permettre à une nouvelle génération de jeunes filles comme ma fille de se voir d’une manière qu’elles ne se verraient peut-être pas autrement. » M. Bridenstine a déjà déclaré que le désir de M. Trump de remettre les humains sur la lune d’ici 2024 serait une occasion de tester la technologie et les capacités avant de mener une mission visant à atterrir sur Mars d’ici 2033. Il a déclaré mardi au sommet: Nous essayons de créer autant d’architecture que possible afin qu’elle puisse être reproduite pour notre éventuelle mission humaine sur Mars. ‘
Adaptation Terra Projects
extrait et sources : http://www.leparisien.fr/ / https://metro.co.uk/
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