(Naraha, Japon) Dans le no man's land radioactif autour des ruines de la centrale nucléaire de Fukushima, au Japon, on ne trouve que des villes fantômes, toujours évacuées trois ans et demi après le séisme et le tsunami meurtriers de mars 2011. La vie est suspendue pour plus de 100 000 habitants de la région, entassés dans de déprimants centres d'hébergement temporaires dans les villes avoisinantes. Notre journaliste a rencontré ces réfugiés nucléaires.
Ici documents photos de zones fantômes...
Depuis la création du site en 2003, nous parlons d'un verdissement du Sahara, à revoir ICI.
Au Maroc, le désert reverdit peu à peu. Après cinq années de pluies abondantes, les barrages débordent et les oasis renaissent.
«Avant, à cette époque de l'année, vous n'auriez vu que des pierres: tout était déjà grillé par le soleil, il n'y avait plus un brin d'herbe», confie Mhamed Mahdane en désignant des troupeaux de chèvres et de moutons disséminés le long de la route nationale 10 qui relie Ouarzazate à l'oasis de Skoura, dans le Sud marocain, aux portes du Sahara. En cette fin du mois de mars, des taches de fleurs blanches, jaunes ou mauves, entrecoupées de touffes d'herbes buissonnantes apportent encore une timide touche de couleur à cet univers minéral. «Du côté du Tafilalet, autour de l'oued Ziz, c'est encore plus spectaculaire: là-bas, il y a de vraies prairies!» insiste ce jeune enseignant, chercheur en sociologie rurale du développement à l'université d'Agadir.
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