Le jour où la terre faillit disparaitre
Documentaire sur le jour où la Terre faillit disparaître. Une découverte vient d'avoir lieu, Il y a pire que le météorite de plus de 10 km qui est tombé il y a 65 millions d'années et qui a créé une extinction de masse il y a 65 millions d'années. La fin des dinosaures. La météorite russe tombée en février 2013 ne mesurait que 5 à 6 mêtres. Imaginez un météor de 10 km. Cela serait une force de frappe catastrophique. Une autre météorite serait tombée au Permien... une autre extinction de masse... il y a 252 millions d'années. Une météorite serait tombée dans l'hémisphère sud et les ondes sismiques auraient ouvert les trapps de Sibérie aux antipodes. Luann Becker pense que l'astéroide faisait 11 km de diamètre et se serait écrasée à Bedout, au large de la côte nord-ouest de l'Australie, où l'on trouve un cratère de 170 km de diamètre. En revanche, Ralph von Frese pense que la météorite faisait 45 km de diamètre et se serait écrasée en Antarctique où l'on trouve un cratère de 480 km de diamètre. Des effets multiples auraient provoqué un réchauffement climatique de 10°
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De récents travaux conduits par des chercheurs du laboratoire Environnements et paléoenvironnements océaniques (EPOC, Université Bordeaux 1 / CNRS / École pratique des hautes études de Paris) montrent que les périodes interglaciaires ne sont pas les seules à avoir connu de fortes moussons africaines. Le Sahara aurait également verdoyé au cours de l'avant dernière période glaciaire, entre - 180 000 et - 170 000 ans, avant de retourner brutalement, en un siècle, au type de climat que nous lui connaissons aujourd'hui.
Une nappe phréatique de cinq millions de mètres cubes d'eau a été localisée. De quoi alimenter le pays pendant 400 ans.
Les hommes ayant vécu durant la première partie du Moyen Age, du 9ème au 11ème siècle plus précisément, auraient eu quelques centimètres de plus que les hommes ayant vécu quelques centaines d'années plus tard, au seuil de la Révolution Industrielle. Telle est la conclusion d'une étude menée par Richard Steckel, professeur d'économie à l'Ohio State University. Cela va à l'encontre de l'opinion traditionnelle au sujet des progrès dans les standards de vie durant le dernier millénaire. La taille est un indicateur de la santé globale et du bien-être économique. Apprendre que les hommes vivaient relativement bien il y a 1.000 à 1.200 ans en arrière, a constitué une surprise.