Hiver chaud en Amérique, froid en Europe: même phénomène
Pendant qu’une bonne partie des Nord-Américains vivent un des hivers les plus doux et secs en une génération, une bonne partie des Européens ont vécu une intense vague de froid en février 2012. Deux phénomènes opposés, une origine commune.
Pour les Québécois, des températures oscillant entre -5°C et -10°C, comme ce qu’ont connu les Parisiens, ne constitueraient pas une «vague de froid» et quelques centimètres de neige ne provoqueraient qu’un haussement d’épaules. Mais dans bien des pays d’Europe — et jusqu’à Tripoli, en Libye!— peu habitués aux tuques et aux pneus d’hiver, c’est non seulement dur, c’est tragique : en Ukraine, 135 personnes seraient mortes de froid, pour la plupart des sans-abris. En France, un rapport rappel que la vague de froid de février 2012 aurait été responsable de la mort de 6000 personnes (chiffres à vérifier).
[...]
D'après plusieurs équipes de chercheurs, la plaque indo-australienne serait en train de se fracturer en deux. Explications.
Quand Marianne nous parle d'un nouveau PAG. Pour les néophytes, un PAG signifie Petit Age Glaciaire. C'est une époque où les températures étaient plus froides qu'aujourd'hui. La température moyenne avoisinait les -0.5 ° et c'était du XV eme au XIX eeme siècle.
Depuis environ vingt ans, on pensait que la Lune avait probablement joué un rôle stabilisateur indispensable pour l’axe de la Terre, assurant un climat propre à l’évolution de la vie pendant des centaines de millions d’années. Il n’en serait rien, ce qui voudrait dire que les chances de trouver une vie sur une exoterre sont maintenant revues à la hausse.
Nous avons analysé dans la grande série sur le réchauffement climatique la fonte de la banquise polaire dans ce billet.
Cette année, il n'aura fallu que 234 jours à l'humanité pour consommer toutes les ressources naturelles que la Terre peut produire en un an. Un seuil justement atteint ce mercredi.