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Vers une baisse de 1° des températures mondiales

Vous avez bien lu ! Une nouvelle étude suggère une baisse des températures allant jusqu’à 1 ° C d’ici à 2020 en raison de la faible activité solaire.

De la HockeySchtick: Un article publié ce mois ci dans le Journal of Atmospheric and Solar-Terrestrial Physics ont trouvé que de longs cycles solaires nous prédisent des températures plus basses au cours du cycle solaire suivant. Un décalage de 11 ans [la longueur du cycle solaire moyen] a établi une corrélation maximale entre la longueur du cycle solaire et la température.

 

 

Sur la base du dernier et long cycle solaire 23, les auteurs prévoient une diminution de la température moyenne de plus de 1°C, par rapport l’actuel cycle solaire N°24, de 2009 à 2020 pour certains endroits.

Faits saillants

► un cycle solaire prédit des températures plus basses pendant le cycle suivant.

► A 1 ° C voir plus, la chute des températures est prédite pour 2009-2020 pour certains endroits.

► L’activité solaire peut avoir contribué à 40% ou plus de l’augmentation de la température au siècle dernier.

► Un décalage de 11 ans donne une corrélation maximale entre la longueur du cycle solaire et la température.

Les auteurs constatent également que « l’activité solaire peut avoir contribué de40% ou plus de l’augmentation de la température au siècle dernier» et «Pour 3 stations de l’Atlantique Nord, nous obtenons une contribution solaire de 63 à 72% de l’augmentation de la température des 150 dernières années. Cela montre que les courants de l’Atlantique sont un signal du renforcement solaire.

Les relations entre la durée d’un cycle de taches solaires et la température moyenne du prochain cycle sont calculés pour un certain nombre de stations météorologiques en Norvège et dans la région de l’Atlantique Nord.

Les températues avaient chuté lors du minimum de Maunder au XVII eme et XVIII eme siècle.

Aucune tendance significative a été trouvée entre la durée d’un cycle et la température moyenne dans le même cycle, mais une tendance négative significative est observée entre la durée d’un cycle, et la température du cycle suivant. Cela fournit un outil permettant de prévoir une diminution de la température moyenne d’au moins  1° sur le cycle solaire 24 pour les stations et domaines analysés. Nous trouvons pour les stations locales norvégiennes après enquête que 25 à 56% de l’augmentation de la température des 150 dernières années peuvent être attribués au Soleil. Pour les 3 stations de l’Atlantique Nord, nous obtenons 63 à 72% de contribution solaire. Cela montre que les courants de l’Atlantique renforcement un signal solaire.

Evolution de l’activité solaire depuis l’an 1600 et future…

La question d’une relation possible entre l’activité solaire et le climat de la Terre a reçu une attention considérable au cours des 200 dernières années. Des périodes avec de nombreuses taches et facules correspondent aux périodes où l’éclairement énergétique est le plus élevée dans le spectre visuel et une réponse plus forte dans l’ultraviolet, qui agit sur ​​le niveau d’ozone. Il est également proposé que les rayons cosmiques galactiques peuvent servir de noyaux de condensation des nuages, ce qui peut relier les variations de la couverture nuageuse à l’activité solaire, puisque les rayons cosmiques pénètrent plus le champ magnétique de la Terre lorsque l’activité solaire est faible. Un examen des connexions possibles entre le Soleil et le climat de la Terre est donné par  Gray et et al. (2010).

Le soleil avec et sans tâches solaires

Basé sur une forte corrélation entre le taux de production des nucléides cosmogéniques 14C et 10Be et les données de la dérive de la banquise,  Bond et al. (2001)  ont conclu que les perturbations extrêmement faibles décennales dans la production d’énergie du Soleil sur des échelles de temps millénaires génèrent une réponse forte sur ​​le climat dans les eaux profondes de l’Atlantique Nord (NADW). Cela affecte la circulation thermohaline mondiale et le climat mondial. Le lien possible avec le soleil, l’océan et le climat peut être détectable sur la température de la région de l’Atlantique Nord. Depuis l’océan avec sa grande capacité calorique, il peut stocker et transporter d’énormes quantités de chaleur, un décalage dans le temps entre l’activité solaire et l’augmentation de la température de l’air est attendue. Un décalage observé nous donne l’occasion de pouvoir faire des prévisions, qui est la raison d’être de la présente enquête.

Traduction, adaptation de la Terre du Futur

source : http://wattsupwiththat.com/


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