Le rayonnement cosmique peut être un facteur climatique important qui a été négligé. Selon Jasper Kirkby pourrait améliorer la formation des nuages sur le rayonnement de la Terre depuis l'espace. Le physicien du CERN parle dans une interview sur le mystère des grandes lacunes dans les connaissances et la recherche dans son domaine.
science.ORF.at: Quand vous voyez le grand accélérateur de particules du CERN et ses détecteurs pour la première fois, on se demande, que les projets de recherche de ce travail de taille à tous. Le tout semble ingérable.
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Tout le monde connaît la théorie qui incrimine la production humaine de CO2 pour expliquer les variations de température des cent dernières années. Cependant, peu de personnes savent que cette théorie connaît de graves difficultés pour expliquer les observations présentes et passées, et qu’une autre théorie beaucoup plus proche de la réalité existe. Cette théorie est notamment développée et défendue par Nir Shaviv, Professeur de physique à l’Université Hébraïque de Jérusalem.
Les derniers résultats de l’expérience CLOUD menée au CERN démontrent l’invalidité totale de tous les modèles climatiques informatiques.
En effet cette expérience démontre implacablement que les modèles climatiques actuels ont aucune validité car ils ignorent les phénomènes qui conduisent à la formation des nuages.(nucléation)
Et l’expérience CLOUD nous enseigne que l’activité galactique est prépondérante dans le phénomène de nucléation.
Les modèles actuels supposent que la nucléation a majoritairement pour cause les aérosols d’origine terrestre (acide sulfurique, ammoniac et eau). Ces modèles actuels ignorent totalement les relations entre les rayons cosmiques et le climat, sous prétexte qu’aucune expérience physique le démontre. C’est chose faite, l’expérience réalisée au CERN établi les interactions entre les rayons d’origine cosmiques et la nucléation. Voilà qui ne va pas ravir les tenants de la thèse du réchauffement climatique due à l’homme. Documentaire à voir ci-après...
Liens fournis par JulienTDF - En 1997 le physicien danois Henrik Svensmark publiait, en collaboration avec Eigil Friis-Christensen, une théorie liant les rayons cosmiques et le changement climatique, sous le terme de cosmoclimatologie. Leur proposition principale est que le rayonnement cosmique influence directement le taux de couverture nuageuse de la planète, et donc le climat. Et que c’est cet effet qui est le principal facteur de “dérèglement” climatique, bien plus pertinent à l’heure actuelle que les émissions de gaz à effet de serre.
Du jamais vu. Le big boss du CERN a interdit à ses équipes de tirer des conclusions scientifiques d'une expérience chargée de déterminer le rôle des rayons cosmiques dans la formation des nuages, et donc... du réchauffement climatique. Au CERN, le climat se refroidit...
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