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Re: Interactions entre les nuages et le climat - CLOUD

Posté : 02 juin 2016, 13:27
par the fritz
yvan38 a écrit :et une Gaule défrichée tant à humidifier certaine contrée!!! :mdr1:
Dsl je sors
C'est vrai qu'ils ont foutu une sacré branlée à la forêt de l'hexagone

Re: Interactions entre les nuages et le climat - CLOUD

Posté : 02 juin 2016, 13:44
par PierreGeorges
sebb85 a écrit :Ne pas mettre la charrue avant les bœufs non plus,..........
Désolé d'intervenir sebb, mais ce n'est pas ce qui a été dit.
Cela prouve simplement, comme le dit Williams, que tout est compliqué et imbriqué.
Cependant, l'article est intéressant.

Re: Interactions entre les nuages et le climat - CLOUD

Posté : 15 nov. 2017, 17:39
par nanuq
Petit compte rendu de Benoit Rittaud sur la théorie de Svensmark.. à Düsseldorf (contre cop23):


https://mythesmanciesetmathematiques.wo ... more-14572

Nanuq

Re: Interactions entre les nuages et le climat - CLOUD

Posté : 19 nov. 2017, 18:03
par chasseurd'orages37
Et que devient cette théorie de Svensmark justement sur la théorie de la formation des nuages par les rayonnements cosmiques ? Parce que certes, les nuages ont un impact sur la répartition et l'intensité de ces rayons ( effets d'albédo... ) et donc un impact, plus au moins important, sur la contenance chimique de notre atmosphère. Est-ce-qu'on pourrait mêler cela aux lois de Planck et de Kirchhoff :?: Parce qu'on parle tout de même de rayonnement.

Je vais essayer de rester dans le sujet, mais j'aimerais parler des processus d'interaction rayonnement-matière dans un milieu gazeux et dense ( suite à ce que j'ai pu étudier il y a quelques temps ) :

Dans un milieu gazeux, l'interaction rayonnement-matière peut-être décrite à l'échelle des molécules libres. Deux cas d'interaction peuvent se présenter entre un photon et une molécule. On a un processus de diffusion simple ( aucune forme d'énergie interne perturbée ). Le deuxième cas d'interaction est l'absorption, ça se passe avant la ré-émission lorsque il y a des collisions moléculaires. Mais le milieu gazeux ne nous intéresse pas vraiment.

C'est surtout le milieu dense qui nous intéresse ( matière solide ou liquide ), il n'est plus possible de décrire les processus à l'échelle moléculaire du fait de la multitude d'interaction entre toutes les molécules. C'est le cas des aérosols en suspension et des gouttes d'eau ou des cristaux de glace des nuages. On décrit ce milieu à l'échelle macroscopique par un ensemble de particules en précisant leur forme ( sphérique ou non ).

Leur distribution en taille et leur indice de réfraction sont des paramètres qui peuvent permettre de modéliser les propriétés absorbantes et diffusantes du milieu ( théorie de Lorentz-Mie pour les particules sphériques, et théorie de Rayleigh pour la diffusion par des particules beaucoup plus petites que la longueur d'onde ).

Re: Interactions entre les nuages et le climat - CLOUD

Posté : 20 déc. 2017, 05:34
par cartesien66

Re: Interactions entre les nuages et le climat - CLOUD

Posté : 02 avr. 2018, 20:16
par pacien
Le froid qui vient des étoiles !
lien

Re: Interactions entre les nuages et le climat - CLOUD

Posté : 10 juin 2018, 19:36
par pacien
transtopic thématique à méditer !
de nanuq
L’impact de l’humidité, des nuages, n’a pas été une priorité dans l’étude du climat. Les nuages restent chaotique,
Et pourtant, une transition de 3 octas à 5 ne passerait pas vraiment inaperçu. Ce changement devrait avoir des conséquences dans le genre des records de neige et orages que nous subissons depuis six mois avec la raréfaction du soleil. Situation qui ressemble, d’après des études, à l'influence du soleil sur magnétosphère / particules cosmiques / nuages. Ce qui devrait amplifier l’asymétrie nuageuse diurne/nocturne, donc : plus de refroidissement diurne.

Re: Interactions entre les nuages et le climat - CLOUD

Posté : 12 août 2018, 18:33
par pacien
Indéniable influence du soleil sur les nuages puis le climat !
Au final, les articles montrent qu’il y a des preuves empiriques écrasantes que la variabilité solaire a un effet primordial sur le climat de la Terre sur virtuellement toutes les échelles de temps depuis les décennies et au-delà. Les principales exceptions sont les périodes durant lesquelles dominent les cycles de Milankovitch qui font que les autres influences sont très difficiles à percevoir.

“en 1801, l’éminent astronome britannique [William Herschel] rapportait que lorsque les taches parsemaient la surface du Soleil, les cours des céréales baissaient. Lorsque les taches disparaissaient, les cours montaient. 

http://www.skyfall.fr/2017/06/28/effets ... terrestre/