Dissymétrie entre durée, entrée et sortie d’une glaciation
Posté : 15 févr. 2018, 20:47
Dissymétrie entre la durée de l’entrée et de la sortie d’une glaciation
Tout le monde aura remarqué que la durée pour atteindre un maximum glaciaire est souvent longue, alors que la sortie est en général très rapide ; la raison est-elle liée à la variation des paramètres orbitaux ? On pourrait en effet penser que l’état normal de Terre au Quaternaire est glaciaire et qu’une conjoncture favorable des trois paramètres provoque cette sortie rapide et un interglaciaire de courte durée.
L’entrée et la sortie d’une période glaciaire reste quand même une question d’ensoleillement et sa répartition sur le globe avec la région Arctique plus sensible que l’Antarctique ; mais je pense que les paramètres orbitaux varient d’une façon monotone ; d’un autre côté gel ou fusion de la glace mettent en jeu les mêmes quantités d’énergie
Williams sur son blog a écrit : Par sa lenteur, ce processus de réajustement isostatique engendre une dissymétrie entre les phases d'accumulation et de fonte des calottes ;
Personnellement , je pense que c’est inverser les rôles concernant le problème que je soulève : l’isostasie répond au poids des glaces qui s’accumulent ou qui fondent et pas l’inverse
Tout le monde aura remarqué que la durée pour atteindre un maximum glaciaire est souvent longue, alors que la sortie est en général très rapide ; la raison est-elle liée à la variation des paramètres orbitaux ? On pourrait en effet penser que l’état normal de Terre au Quaternaire est glaciaire et qu’une conjoncture favorable des trois paramètres provoque cette sortie rapide et un interglaciaire de courte durée.
L’entrée et la sortie d’une période glaciaire reste quand même une question d’ensoleillement et sa répartition sur le globe avec la région Arctique plus sensible que l’Antarctique ; mais je pense que les paramètres orbitaux varient d’une façon monotone ; d’un autre côté gel ou fusion de la glace mettent en jeu les mêmes quantités d’énergie
Williams sur son blog a écrit : Par sa lenteur, ce processus de réajustement isostatique engendre une dissymétrie entre les phases d'accumulation et de fonte des calottes ;
Personnellement , je pense que c’est inverser les rôles concernant le problème que je soulève : l’isostasie répond au poids des glaces qui s’accumulent ou qui fondent et pas l’inverse