Une éruption solaire fantastique
Un magnifique mariage entre prouesses technologiques et force de la nature, la vidéo suivante d’un «magnifique CME », comme appelé par la NASA, a été enregistré le 31 aout 2012 par Scott Wiessinger. Ce jeune homme de renommé travaille pour la NASA comme producteur de vidéos astrophysiques. Il affirme avoir commencé la vidéo avec des photos 4K de très hautes résolutions en les rognant et ajustant pour les joindre à la vidéo. Il a aussi utilisé des prises des satellites SOHO et STEREO.
[...]

Les plus courants capteurs de lumière solaire existants ne sont autres que… les fenêtres. Elles sont partout, dans les maisons et les immeubles, de la lucarne à la baie vitrée voire à la paroi extérieure elle-même de certaines tours. Leur fonction est de laisser entrer la lumière à l’intérieur des habitations et autres bureaux. Or, cette lumière pourrait fort bien être transformée en électricité grâce au fameux effet photoélectrique déjà exploité par les cellules solaires. Alors peut-on envisager de tirer partie de la gigantesque quantité de lumière qui traverse nos fenêtres pour… produire du courant ?
Des cellules photovoltaïques liquides, l’avenir du solaire ? La peinture solaire, on en reparle. Nous avions déjà vu ce sujet qui semble extrêmement prometteur :
Ce billet fait écho à une brève parue tout récemment (le 14 septembre 2010) dans le journal Science, (Science Now), intitulée : "Say Goodbye to sunspots ?", soit "Faut-il dire adieu aux taches solaires ? "
Une équipe de chercheurs européens a découvert qu'un grand minimum d'activité solaire peut affecter les conditions météorologiques. Des scientifiques du centre allemand de recherches en géosciences (GFZ), en collaboration avec des collègues néerlandais et suédois, ont apporté des preuves sur le rapport entre un climat/activité solaire sur plusieurs centaines d'années. Un refroidissement soudain en Europe, associé à une augmentation de l'humidité et de conditions venteuses, a coïncidé avec une réduction de l'activité solaire il y a 2 800 années. L'étude a été récemment publiée dans la revue Nature Geoscience.