Dernières Infos

Le Grand Barnum

Le cinquième rapport du GIEC, bien éventé par les fuites de 2012, nous promet, encore une fois, l’enfer. Le réchauffement climatique anthropique … pardon, la terminologie a changé mais pas la finalité … donc, disais-je, le changement climatique est, avec 95 % de certitude, l’œuvre malveillante de l’homme. Les décideurs pour nos décideurs, à grands coups de données, d’études, de graphiques effrayants et de projections alarmistes, nous ont concocté l’apocalypse … rien de différent du précédent rapport, me direz-vous … en effet, bien que moins extrême pour un proche avenir mais tout aussi alarmant pour la fin du siècle.

Les océans vont nous submerger, la banquise Arctique va disparaître, les sécheresses vont nous dessécher pendant que des moussons noieront d’autres lieux, le co2 va réchauffer notre planète à des niveaux jamais atteints, … , etc,etc . En un mot, la cuisson ne se fera plus au barbecue … mais au bain marie !

 

Cet article n’est nullement destiné à nier le réchauffement climatique, qui est d’ailleurs incontestable et incontesté, il est là pour relativiser … sortir de cette spirale alarmiste et de ces projections ( et pas prévisions, le GIEC fait le distinguo, bien que le fait d’annoncer 95 % de certitude revient à de la prévision … ) d’événements extrêmes en tous genres. Oui, le réchauffement climatique est réel mais est-il inédit ? Oui, le co2 a sa part de responsabilité, au même titre que les variations climatiques naturelles (l’ENSO, la PDO, l’AMO, la QBO, la DBC, les océans, l’activité solaire, l’activité volcanique, la météo spatiale rapportée à la très haute atmosphère, etc … ), quels sont les forçages radiatifs induits à ces différents acteurs du climat ?

Nous tacherons de donner des réponses objectives par l’intermédiaire d’études et de graphiques – en conclusion, nous verrons pourquoi une telle défiance peut exister face à un rapport sensé démontrer que nous allons droit dans le mur et sensé nous apporter les solutions « miracles » à la sauvegarde de l’humanité …

1 – Le réchauffement climatique

La fin du XXème siècle a confronter la Terre à un réchauffement climatique notable, inutile de le nier, les données observées en sont les garantes mais cet événement remarquable était-il si inédit qu’on bien voulu nous le faire croire les premiers rapports du GIEC ?

Je vous ferai grâce des différentes affaires ayant émaillé cette période, plutôt noire pour la communauté scientifique, pour m’en tenir aux faits scientifiques. Donc, unique ou récurrent ? Récurrent de la variabilité du climat semble s’imposer à notre logique, sur le seul siècle passé, la copie conforme de notre réchauffement climatique s’est produite.Voici deux courbes d’anomalies de températures, issues du même organisme et du même siècle ( le XX ième ) … cela se passe de commentaires.


On pourrait remonter le temps pour s’apercevoir que le climat de la Terre n’a rien d’un long fleuve tranquille et que la stabilité n’est absolument pas la norme, la succession de réchauffements et de refroidissements en est le fondement. En premier lieu sur la base de cycles millénaires (ères glaciaires et interglaciaires ), puis sur la base de cycles séculaires ( cycle de Eddy, par exemple ) et sur la base de cycles décennaux ( voire annuels, PDO, AMO, etc .. ), l’histoire est marquée de ce genre de fluctuations, plus ou moins intenses et plus ou moins longue ( on peut rajouter les changements climatiques brutaux, tels que les événements de Heinrich ).


2 – La stagnation des températures

Suivant les organismes, Hadcrut, NASA, Giss, RSS, UAH, etc … les données font le consensus sur une stabilisation des anomalies de températures depuis au minimum le début du XXI ième siècle, on ne va pas chercher à être plus précis que la quinzaine d’années, cela n’apporte rien au débat ( quoi que … pour les pinailleurs,15 ans ne seraient pas suffisants pour définir une tendance, bien que 10 années de réchauffement a suffi pour crier au loup … passons, c’est ainsi )

Vous remarquerez l’écart d’anomalies entre les différentes agences, ce n’est dû qu’aux choix de périodes de références différentes ( l’OMM avait préconisé de s’en tenir à la période 1981/2010 ), le problème résidant, par la suite, de confronter ces différentes données ( le GIEC a une préférence pour GISS … on se demande bien pourquoi ? )

Je vous livre les données avec du recul sur le siècle précédent, pour une meilleure lisibilité, j’aurais aisément pu m’en tenir au années 2000/2013 pour marquer la stagnation mais je tiens à rester objectif.

3 – L’élévation du niveau des océans

Les données sont assez contradictoires, pour le GIEC cette élévation serait de 3 mm/an avec pour 1/3 de dilatation thermique ( due au réchauffement climatique ),1/3 de fonte des glaciers ( continentaux ) et …. pour au moins 40 % ,de la fonte de la calotte glaciaire du Groenland et de la péninsule ouest de l’Antarctique ( cette fonte serait en très forte accélération ) … ces données proviennent de J. Jouzel ( vice président du GIEC ) … qui semble avoir plus de facilité avec la communication qu’avec les mathématiques : 33 % + 33% + 40 % minimum = 106 % !!!!

http://www.thinkovery.com/

Suivant des études récentes (ne faisant pas parties du « cherry picking » : NDR. Façon de choisir les informations qui tendent vers le but désiré ), cette élévation ne serait, en fait, que de 1,3 mm par an .

4 – L’Arctique et l’Antarctique

Après les déclarations du Dr Maslowski sur la BBC en 2007,faisant suite au record de disparition de glace de mer arctique, affirmant qu’en 2013 le pôle nord serait libre de glace, il est de bon ton de constater que les projections les plus pessimistes sont restées lettres mortes. Certes 2012 fut catastrophique mais ce surplus de glace de mer perdu n’était dû qu’à une extraordinaire tempête comme en connaît l’Arctique régulièrement chaque été boréal. L’année 2013 retient notre attention par une perte de glace de mer la moins élevée depuis l’ère des relevés satellites même si à son minimum, elle reste la 6ème la plus basse en surface, bien entendu, il faudra plusieurs années pour vérifier si la tendance s’inverse ( à noter que la décision a été prise de changer les méthodes de calcul pour la surface de la banquise … cette opération fait perdre 250 000 km2 de surface à la banquise !!! ), toujours est-il que l’été boréal a été bien plus froid que les précédents, avec une température moyenne au delà de 80° de latitude sous les moyennes (1981/2010).


L’Antarctique n’a pas fait la une des journaux et pour cause … cette année a vu la banquise battre tous les records de surface … il n’y a rien à rajouter là dessus.

On va passer rapidement sur les effets d’annonces, tels que : « La calotte glaciaire du Groenland fond entièrement » en 2012 ( annonce de la NASA , dessin à l’appui !! ).

Pour une correction, bien plus tard, sur le fait qu’il ne s’agissait que de la surface de contact avec l’atmosphère ( sur quelques mm ), en pleine journée ensoleillée et à un moment X !!!

5 – Les événements extrêmes

Que dire, si ce n’est que l’on se retrouve, là, avec les plus grandes erreurs du GIEC (avec les projections modélisées des précédents rapports ). En dehors de phrases convenues et qui n’ont aucun sens scientifique, du genre il y a eu, et il y aura des canicules chaque année mais impossible de les situer car le climat est très mouvant …. on peut juste dire que les tendances des différents événements extrêmes ne sont pas à la hausse comme prévu par le GIEC … bien au contraire.

– les ouragans et tempêtes (cette saison est très représentative avec aucun ouragan sur l’atlantique !! ) sont en diminution sensible et ce au niveau global .Le continent américain ( côte est ) n’a plus été touché par un ouragan > ou = à une force 3 depuis katrina.


– les sécheresses et inondations. Guère de variations ont été observées au cours de ces dernières années.

http://www.nature.com

– les tornades. Si on a remarqué une recrudescence de ce genre d’évènements en Europe (tornades et trombes), côté USA, la tendance est à la baisse également.

– tempêtes de neige et grands froids. 2013 a connu l’un des plus forts enneigement global enregistré ( avec 2008 et 2010 ), les cinq derniers hivers, dans l’hémisphère nord ( surtout côté vieux continent ) ont connu des températures plus basses que les moyennes.

6 – Raisons des errances du GIEC

A sa création, en 1988, le GIEC était une bonne idée, pleine de « bons sentiments », quoi de plus valorisant que de voir le monde se lier pour trouver une solution à ce qui faisait monter la crainte chez tous les hommes : le réchauffement climatique. Effectivement, les températures moyennes augmentaient et ce, en parfaite corrélation avec l’augmentation de la concentration de co2 … le coupable était là, sous nos yeux … le co2 anthropique. Bien que des désaccords existaient entres les scientifiques (forçages radiatifs et modulations des anomalies de températures ), il semblait que le consensus était quasi intégral. Tout le monde y trouvait son compte, les scientifiques, le GIEC, les décideurs et le quidam … jusqu’aux premières études contradictoires, qui, non seulement mettaient à mal le GIEC (et sa batteries d’employés bénévoles !! ) mais également les politiques environnementales des pays souscripteurs financiers de ce dernier. Trop d’argent en jeu (à venir et déjà dépensé) pour faire marche arrière … d’où le climagate qui à permis de découvrir les falsifications, les petits arrangements et autres magouilles sur les données (Mann et Hansen pour ne citer qu’eux ). La politique avait pris le pas sur la science … pour ne plus lâcher le morceaux, avec l’appui du lobbying de toute sorte. Aujourd’hui, l’embarras provient de la dissociation co2 / températures qui détruit purement et simplement le fond de commerce sur laquelle il était basé … des théories plus ou moins farfelues ont vu le jour pour tenter de justifier la stagnation des températures, le GIEC lui-même conseille aux décideurs de passer sous silence cette dernière … pourquoi pas ? mais à l’heure d’internet … peine perdue. Je vous passe des extraits d’un site qui donne la parole à des scientifiques connus et reconnus .

Judith Curry

« « Les causes nobles,

« Les scientifiques peuvent, ou bien biaiser subtilement leurs recherches dans le sens des préoccupations des politiques publiques environnementales ou bien ils peuvent opérer activement dans le sens de la suppression des éléments de preuve, et, dans certains cas, ils peuvent agir de manière préventive en inventant des éléments de preuve destinées à discréditer leurs opposants. »[…]

« Cette année, j’ai eu l’occasion d’observer un exemple frappant de ce que je viens de dire. Un de mes collègues envisageait de publier un article qui remettait en question l’interprétation de la pause précédente qui allait des années 1940 aux années 1970. Mon collègue a envoyé une présentation Powerpoint sur ce sujet à trois collègues, chacun d’entre eux étant un scientifique expérimenté et très respecté et aucun d’entre eux ne s’était particulièrement signalé en matière d’activisme sur le sujet du changement climatique (je ne donne pas les noms pour protéger les innocents/coupables).

Chacun de ces scientifiques a fortement conseillé à mon collègue de NE PAS publier son article car cela pourrait seulement fournir des arguments aux sceptiques. (Note : Mon collègue n’a pas encore publié son article mais pas parce qu’il a été découragé par ces collègues).

Ce qui est en question ici est un conflit entre la micro-éthique de la responsabilité individuelle pour une conduite responsable de la recherche et des questions éthiques plus vastes, associées au bien-être du public et de l’environnement. La plupart des exemples de ce type sont en relation avec la suppression des éléments de preuve en y incluant des tentatives pour asphyxier les recherches effectuées par les sceptiques (en particulier leurs publications et leur dissémination dans le domaine public). Les courriels du Climategate en ont fourni de nombreux exemples. »

Dans le cours de son billet sur ce sujet, Judith Curry rappelle des extraits édifiants de ses propres écrits antérieurssource www.pensee-unique.fr

« Ces scientifiques étaient-ils des chercheurs assidus faisant de leur mieux pour répondre aux attentes impossibles des décideurs ? Oui, beaucoup d’entre eux l’étaient. 
Cependant, au cœur du GIEC, il existe un corps de scientifiques dont les carrières ont été faites par le GIEC. Ces scientifiques ont utilisé le GIEC pour passer par dessus le processus normal de la méritocratie grâce auquel les scientifiques acquièrent de l’influence auprès des décideurs qui œuvrent pour la politique de la science. Non seulement cela a propulsé un certain nombre de personnes assez peu connues, inexpérimentées et même peut-être douteuses, dans des situations influentes, mais ces personnes se sont investies dans la protection du GIEC, lequel est devenu vital pour leurs propres carrières et a légitimé leurs jeux politiques sur la base de son expertise.
Quand je fais allusion au dogme du GIEC, c’est à l’importance religieuse que le GIEC représente pour ce corps de scientifiques. Ceux-là ne toléreront aucun désaccord et ils chercheront à écraser et à discréditer quiconque remet en question le GIEC. Certains sont des scientifiques de niveau moyen, à mi-carrière ou en fin de carrière, qui ont dit adieu au processus de méritocratie académique. D’autres n’étaient encore que des étudiants doctorants lorsqu’ils ont été recrutés comme auteur principal pour le GIEC. Ces scientifiques ont utilisé le GIEC pour obtenir un siège à la « table des grands » où ils peuvent jouer à la politique avec les organes de pouvoir en utilisant l’expertise collective du GIEC afin d’obtenir une renommée personnelle et pour faire progresser leurs propres carrières. Cette progression de leurs carrières se fait avec la complicité des sociétés professionnelles et des institutions qui financent la science. 
Avides de publicité, des journaux à fort impact comme Nature, Science et le PNAS publient fréquemment des articles sensationnels mais douteux qui contribuent à l’histoire de l’alarme climatique. » »

Mike Hulme

« L’établissement du consensus par le GIEC ne représente plus un critère primordial pour les gouvernements comme [l’est] une analyse complète des incertitudes. A défaut d’une explication précise de ce que ceci signifie, la tendance au consensus peut rendre le GIEC vulnérable aux critiques extérieures. Les affirmations telles que ‘2500 des meilleurs scientifiques du monde sont parvenus à un consensus sur le fait que les activités humaines ont une influence significative sur le climat’, sont fallacieuses. Ce jugement particulier relatif au consensus, comme beaucoup d’autres dans les rapports du GIEC, n’est obtenu que par seulement, quelques douzaines d’experts dans le domaine particulier des études de la détection et des attributions. Les autres auteurs du GIEC sont experts dans d’autres domaines. « 

Richard Lindzen

« Bien qu’étant une démarche bénéfique, la science, en tant qu’institution, est toujours problématique. Charles Darwin a souvent fait part de sa gratitude d’avoir pu être un gentleman scientifique dépourvu du besoin de dépendre d’une affiliation institutionnelle. Malheureusement et dans la réalité, le gentleman scientifique n’existe plus. Même au cours du XIXè siècle, la plupart des scientifiques avaient besoin d’affiliations institutionnelles et, de nos jours, la science a inévitablement besoin de financements externes. Dans certains domaines, y compris en climatologie, c’est le gouvernement qui a le monopole de ce financement. 

L’accroissement des budgets est activement recherché, mais l’augmentation des budgets pousse les scientifiques ainsi que les administrations des universités et les bureaucraties gouvernementales, à rechercher des sources financières pérennes. La sphère publique contribue avec sa dynamique propre, au processus scientifique et de manière plus importante lorsqu’il s’agit de couplage de la science avec des questions politiques. Ceci constitue un élément crucial du problème climatique mais des exemples comparables ont existé dans d’autres domaines jusque dans l’eugénisme et l’immigration et dans le Lysenkoïsme et l’agronomie.

Bien qu’il existe de multiples raisons pour lesquelles quelques scientifiques peuvent désirer introduire leur champ de recherche dans la sphère publique, les cas décrits dans cet article apparaissent plutôt comme des cas où ceux qui ont des objectifs politiques ont trouvé utiles d’utiliser la science. Ceci implique immédiatement une distorsion de la science à un niveau très basique, c’est à dire que la science devient une source d’autorité plutôt qu’une méthode de recherche. L’utilité réelle de la science provient de cette dernière. L’utilité en matière de politique relève de la première.

Pour que la science soit politiquement utile, il faut que plusieurs éléments soient réunis :

• De puissants groupes de pression affirmant représenter, à la fois, la science et la sphère publique au nom de la morale et d’un savoir supérieur. 
• Des descriptions simplistes de la science sous-jacente de manière à faciliter une « compréhension » très répandue. 
• Des « événements », réels ou imaginaires, interprétés de telle manière qu’ils promeuvent le sentiment de l’urgence dans le grand public. 
• Des scientifiques flattés d’obtenir l’attention du public (y compris avec des soutiens financiers) et complaisants vis à vis de la « volonté des politiques » ainsi que de la reconnaissance publique de leur caractère vertueux. Ainsi que, Un nombre significatif de scientifiques désireux de produire de la science réclamée par le « public ».

Ces éléments ne sont pas réellement indépendants. De fait, ils interagissent de manière importante. (Voir la Figure 1).

Le processus illustré par cette figure n’est pas destiné à expliciter un quelconque abus de la science mais plutôt de démontrer pourquoi le système est vulnérable vis à vis des abus.

Les scientifiques dont les domaines sont éloignés de la science climatique sont encouragés à obtenir une part des financements. 

Par exemple, une dotation de 197.000 a $ été attribué à un psychologue qui avait écrit que « le changement climatique représente un défi moral pour l’humanité et un de ceux qui suscitent un degré élevé d’émotion. Ce projet étudie comment les émotions et la moralité influencent la manière dont le public reçoit et fait passer le message du changement climatique, et il le fait dans la perspective de développer des stratégies applicables et concrètes pour amorcer un changement positif. » 
[…]
Les conséquences du Triangle de Fer impliquent l’ascension des médiocres politiquement corrects ou des incompétents tels que T.D. Lysenko ce qui est inévitable compte tenu de l’incapacité du public à juger de la science. Malheureusement, souvent, ceci pousse des scientifiques de meilleure qualité à rejoindre le groupe dans le but de préserver leur statut. Les activistes exagèrent grossièrement les résultats afin de promouvoir leur cause. Une focalisation obsessionnelle sur des sujets sans intérêt ou des aspects déconnectés, se met en place. Une dégradation profonde du niveau de la discussion (y compris avec l’abdication de la logique) interagit avec l’ascension des incompétents (NdT : Dans sa conférence orale, Lindzen a donné des exemples (et des noms) de ces derniers, parmi les plus connus de la climatologie mainstream ainsi que quelques explications complémentaires à ce sujet) »
[…]

J’irai de mon petit mot … pour rire

Le GIEC me fait penser aux trois singes de la sagesse,Mizaru qui ne vois pas ce qu’il ne faut pas voir,Kikazaru qui n’entend pas ce qu’il ne faut pas entendre et enfin Iwazaru qui ne dit pas ce qu’il ne faut pas dire … ou comment faire l’autruche … la symbolique prend un sacré coup de pied où je pense !!!

Conclusion : Pour ceux qui avaient encore des doutes sur le bien fondé de notre démarche sur « La terre du futur » et notre capacité à rester objectifs,sérieux et scientifiquement crédibles … je vous laisse méditer sur cet article,concocté par un ignare sans diplôme … qui vous offre un papier que vous serez à même de comprendre … A bon entendeur !

Cartésien66.

Article Exclusif de la Terre du Futur pour répondre aux interrogations de ceux qui doutent. Discussion en cours dans les forums de la Terre du Futur ICI

(179)

Laissez un message