Dernières Infos

Le Giec, le réchauffement climatique et le Soleil

soleil

soleilLes experts du climat du GIEC sont-ils en train d’admettre à leur tour que le soleil joue un rôle prédominant dans le réchauffement climatique ? Cela fait des années, depuis les premiers rapports émis il y a plus de 10 ans qu’on nous affirmait le contraire. Dès le rapport de 2001, le réchauffement cataclysmique avançait et nous démontrait que le soleil n’avait aucun impact dans le réchauffement climatique. Certains nous affirmaient même que cela n’avait aucune influence météorologique !


 

 

Un avant-projet du prochain rapport du GIEC pourrait laisser penser que l’origine du réchauffement climatique ne se résumerait pas aux conséquences de l’activité humaine. A l’origine de ce soupçon, un paragraphe du rapport dont la portée et l’interprétation fait débat.

Il y avait longtemps qu’on n’avait pas parlé des climastrologues et des escrologistes de combat qui nous vendent non pas du rêve mais de la catastrophe planétaire à longueur d’année pour mieux pousser leur agenda interventionniste, décroissant et malthusien. Heureusement, une récente fuite d’un avant-projet du prochain rapport du GIEC nous aide à nous les rappeler à notre bon souvenir. Surprise (légère) : les dogmes climatologistes s’effritent un à un.

Tout commence avec Alec Rawls, qui participe à la rédaction de l’AR5, c’est-à-dire du second avant-projet du prochain rapport du GIEC (le groupe international d’experts sur le climat) ; et alors qu’il vient de clore ses contributions au rapport et que la période des commentaires est achevée, il décide d’en publier la version courante, jugeant que le contribuable qui le finance doit pouvoir prendre connaissance des informations déjà disponibles. D’autant plus que, selon lui, ces informations remettent complètement en cause la thèse centrale du réchauffement climatique, basée sur le dioxyde de carbone et son origine humaine…

Et c’est ainsi qu’on découvre que le GIEC admet, même pas à demi-mot, que oui, le soleil réchauffe bien la Terre. Certes, la plupart des scientifiques de bon sens (dont Svensmark, par exemple), étaient arrivés à la même conclusion depuis un moment déjà.

La phrase suivante du chapitre 7, p.43 change radicalement l’épaule du fusil du GIEC :

« Many empirical relationships have been reported between GCR or cosmogenic isotope archives and some aspects of the climate system (e.g., Bond et al., 2001; Dengel et al., 2009; Ram and Stolz, 1999). The forcing from changes in total solar irradiance alone does not seem to account for these observations, implying the existence of an amplifying mechanism such as the hypothesized GCR-cloud link. We focus here on observed relationships between GCR and aerosol and cloud properties. »

Certes, c’est assez jargoneux, mais cela veut dire que les observations ne permettent plus d’écarter l’hypothèse formulée par Svensmark, qui avait postulé, en 1997, qu’une partie non négligeable de la nébulosité doit sa formation à l’activité solaire (rayons cosmiques) et qu’elle joue un rôle fondamental dans le réchauffement climatique (une abondante couverture nuageuse protégerait la Terre du réchauffement). Et cette hypothèse avait trouvé de solides éléments de preuve courant 2011, montrant que l’action solaire étaient belle et bien déterminante dans le réchauffement constaté.

Le projet Cloud a démontré la véracité de Svensmark. Pourtant bien avant tout ça, Svensmark avaient de très nombreux détracteurs dont le GIEC lui même.

Et pour en revenir à l’actuel avant-projet de rapport du GIEC, ce chapitre 7 vient donc en contradiction frontale avec le dogme accepté jusqu’à présent, qui voudrait que le principal du réchauffement viendrait du CO2 d’origine humaine, et plus précisément, cela signifie qu’on ne peut plus dire, comme c’était la coutume auparavant, que le forçage solaire doit être considéré comme négligeable face à l’action humaine : non seulement, il ne peut plus être oublié, mais il est même très probablement la principale raison des variations de températures observées (le soleil expliquerait en fait la moitié du changement observé).

Devant ces révélations, qui, finalement, renversent complètement le paradigme initial (puisqu’on passe d’une position où l’Homme est le seul responsable à une position où il n’occupe plus la place prédominante), le GIEC a bien évidemment émis un communiqué de presse laconique dans lequel on découvre, dès les premiers paragraphes, que d’un côté, le GIEC regrette cette fuite qui interfère avec le processus d’évaluation et de passage en revue des différents papiers, et de l’autre que ce processus d’évaluation se sont étalés sur huit semaines et … se sont achevés le 30 novembre 2012, ce qui laisse supposer, selon une logique commune, que la fuite ayant eu lieu après, les commentaires et remarques sont fermés. Autrement dit, soit ils admettent qu’il va y avoir à présent un travail de censure endiablée d’édition, ce qui est plutôt bizarre puisque l’ensemble du processus devrait être public, soit ils admettent que ce qui a fuité est un matériel à peu près définitif.

De son côté, la presse a timidement commencé à s’emparer de l’affaire outre-Atlantique, sentant dans les déclarations gênées du GIEC qu’il y avait effectivement plus d’un lièvre à lever. Ainsi, James Delingpole du Telegraph se demande ouvertement quelles excuses extravagantes vont pouvoir être trouvées pour expliquer à quel point cette histoire et ce retournement de veste complet sont sans signification, que c’est « business as usual » pour les théories du réchauffement climatique et tout le reste.

Bien évidemment, l’ampleur et l’impact de ces fuites seront largement minimisées dans les médias francophones acquis à la cause réchauffiste. D’ailleurs, les rares articles évoquant la question sont passés totalement inaperçus.

Il est bon de rappeler que tout ceci arrive dans une période où les scientifiques et les érudits constatent que le Soleil est entré dans une période étonnement calme. Du pas vu depuis 200 ans. On appelle cette époque le minium de Dalton, et les prévisions du prochain cycle solaire rappelle également le Minimum de Maunder. Le Minimum de Maunder est aussi appelé le Petit Age Glaciaire, une époque du Moyen Age où la Seine à Paris était gelée en plein hiver !

Source Extrait et Adaptation de : http://www.atlantico.fr

(450)

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.