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Dossier Refroidissement 3

C) Vortex, stratosphère?

En Arctique il y a un vortex, mais ce phénomène est moins important qu’en Antarctique comme les températures stratosphériques ne sont pas aussi basses que dans l’Antarctique. La circulation atmosphérique y est différente.

Pour ceux qui auraient encore des doutes qu’une glaciation soudaine n’est qu’un pur fantasme et qu’un blizzard descendant du grand Nord n’est qu’une utopie, voici de quoi changer les avis. Des scientifiques avertissent.
Préparez vos tenues d’hiver ça arrive…

 

Voici un tableau des températures dans la stratosphère depuis 1979 à 2002 :

 

On sait que le réchauffement global provoque une hausse des températures au sol. Les températures semblent s’emballer depuis 1999. On note que la température de 2003 pourrait être la normale de 2050 :

Selon M. Bamber, des flux croissants d’eau venus de l’Arctique pourraient déclencher un ralentissement ou une dérivation du Gulf Stream, le courant qui amène de l’eau chaude du Golfe du Mexique vers l’Atlantique Nord, réchauffant ainsi les eaux et le climat de l’Europe occidentale.

Les changements climatiques ne sont pas nécessairement lents. De récentes études prouvent que des «basculements» se sont déjà produits en moins d’une décennie…

La verte Irlande transformée en désert de glace. Au large des côtes françaises, des phoques du Groenland nagent entre des morceaux de banquise. Des ours polaires rôdent dans les rues d’Amsterdam… Telles sont les images qu’évoquent les toutes dernières recherches sur le réchauffement de la planète. Vous avez bien lu: réchauffement de la planète, c’est-à-dire hausse de la température moyenne à la surface du globe due à la rétention de la chaleur solaire dans l’atmosphère par la pollution.
Puis, les mêmes recherches suggèrent que ce changement radical de climat en Europe du Nord pourrait se produire en 10 ans seulement. Pas de faute de frappe, ni de prononciation : il ne manque aucun zéro à ce nombre. Des scientifiques ont récemment mis en évidence que le réchauffement de la planète peut avoir un impact dévastateur en un temps infiniment plus court que nul ne l’aurait cru possible, qui ne se compte ni en siècles, ni en décennies mais en années: ce phénomène brusque est appelé «basculement» climatique.

Un éminent expert vient d’adresser cette mise en garde: certains pays de l’Atlantique Nord pourraient entrer dans un climat arctique en 10 ans : «Je croyais que les changements climatiques étaient lents et ne m’affecteraient jamais personnellement, avoue Kendrick Taylor.

Aujourd’hui, je sais que notre climat pourrait changer sensiblement de mon vivant.» Autant dire en un clin d’?il à l’échelle géologique. A l’échelle humaine, une telle rapidité de changement climatique est très probablement insupportable. Une économie, une agriculture seraient-elles capables de résister à un bouleversement aussi soudain?

D) Les glaciers grandissent dans le monde entier

N’importe quel climatologue compétent, sait que l’avance glaciaire est un premier signe d’alarme pour l’Hémisphère nord de ce que peut apporter de terrifiant une Période glaciaire. La dernière petite Période glaciaire continue, date d’environ 1400 à 1850, et a été suivie par une période de réchauffement léger.

Il y a un nombre croissant de signes qui montrent que nous pouvons revenir à un autre petit Âge de Glace.

Géologiquement et climatologiquement, nous sommes partis pour une autre telle avance glaciaire … et en quelques lieux elle peut déjà avoir lieu. Depuis 1980, il y a eu une avance de plus de 55 % des 625 glaciers de montagne sous surveillance par le groupe de Contrôle de Glacier du Monde.

Depuis 1850, le glacier de Nisqually avait reculé d’ 1 kilomètre. Entre 1994 et 1997, le glacier épaissi de 17 mètres à l’altitude de 2800 m, le glacier va certainement avancer pendant la première décennie du 21e siècle. Le géologue Sauers, dit  » je me prépare pour une Période glaciaire, peut-être nous tous le devrions. »

En Amérique du Sud, Pio XI et les Glaciers Moreno grandissent. Ce sont deux glaciers énormes.

Voici une liste (partielle) des glaciers qui grandissent :

NORVÈGE : Lfotbreen Glacier. Briksdalsbreen Glacier. Nigardsbreen Glacier. Hardangerj et Kulen Glacier. Hansebreen Glacier. Jostefonn Glacier. Engabreen glacier. Les glaciers de la Norvège grandissent à allure record. Le visage du glacier Briksdal, une ramification du plus grand glacier d’Europe: 18 centimètres par jour.

CANADA : Glacier de Gouvernail, Glacier de Place

EQUATEUR : Antizana 15 Glacier Alpha

SUISSE : Silvretta Glacier

KIRGHIZTAN : Abramov

RUSSIE : Maali le Glacier

GROENLAND : Glacier du Groenland avançant 7.2 milles par an!

La B.B.C. a diffusé un documentaire, le Grand Froid, disant que nous pourrions être sur le point d’entrer dans une période glaciaire.

La Grande-Bretagne pourrait se diriger vers un climat type d’Alaska, dans une décennie, parce que le Gulf Stream est graduellement coupé.

Un des plus grands glaciers du Groenland a déjà doublé son taux d’avance, avançant de 12 kilomètres par an.

FRANCE : Les photos montrent que tous les 48 glaciers des Alpes du Sud ont grossi l’année passée. Des glaciers, situés haut dans les montagnes, ont gagné plus de glace qu’ils en ont perdu. On devrait voir la croissance considérable des glaciers de Franz Josef dans deux à trois ans.

AMÉRIQUE DU SUD : Moreno Glacier (le plus grand glacier en Patagonie) – Pio XI Glacier (le plus grand glacier dans l’hémisphère sud)

ETATS-UNIS – Le Colorado – Washington – La Californie – Le Montana – L’Alaska (Mt. McKinley et Hubbard). Glaciers grandissant sur le Support de la Californie Shasta ! Le 12 octobre 2003.

Tous les sept glaciers du Support des glaciers de Shasta grossissent, dit Slawek Tulaczyk, un glaciologue à l’Université de la Californie. Cela inclut Whitney de trois milles de long, l’état le plus grand. Trois d’entre eux ont doublé leur taille depuis 1950.

En attendant, sept glaciers plus petits dans Nevadas Sierra de Californie sont plus petits qu’ils étaient il y a 100 ans. Mais les titres des journeaux ont-ils mentionné des glaciers en croissance ?

La Glace du Groenland devient plus épaisse. Un article dans Nature a annoncé que les vallées du désert de glace de l’Antarctique, qui ont longtemps été considérées comme un indicateur de tendance pour le changement climatique global sont devenu remarquablement plus froides depuis le milieu des années 1980.

ANTARCTIQUE : Les masses de glace Antarctique se sont déplacées deux fois plus rapidement que d’habitude. Cinq des six glaciers tributaires, qui ont alimenté la calotte Larsen, sont entrés dans des phases de crues actives.

RUSSIE : Le 20 septembre 2002, un morceau énorme de 22 millions de tonnes du Glacier gigantesque Maili s?est effondré dans une gorge raide sur le village de Kami tuant plus de 150 personnes et au préjudice de centaines en plus. Le mur de glace de 500 pieds avait grandi pendant six ans.

Le Glacier Maili est l’un des autres glaciers au Nord des Montagnes du Caucase qui se sont étendus à un taux alarmant.

D’autres villes dans la région ont été partiellement enterrées par ces murs d’avancements de progression glaciaire.

Un scientifique local en Russie du sud a dit, « nous pouvons voir le début d’une nouvelle grande période glaciaire » !!!

GROENLAND : Les études de données météorologiques historiques montrent que les températures dans cette région polaire on chuté. Pendant les 40 ou 50 dernières années il y a eu le rafraîchissement statistiquement significatif, particulièrement au Groenland côtier du sud-ouest. Des températures en Mer du Labrador ont aussi chutées.

Les SATELLITES montrent en général des augmentations de la couverture Antarctique de glace de la mer autour de l’Antarctique. Claire Parkinson de la NASA a constaté que des saisons de glace de mer se sont allongées d’au moins un jour par an sur un secteur de 2.16 millions de milles carrés.

FONTE DES GLACIERS « Fausse alerte ». Le 22 août 2002, « Télégraphe de Nouvelles » : Les images montrant le réchauffement global, ainsi que les glaciers arctiques reculant sont de la plus grande tromperie, dit le glaciologue.

Ces affirmations induisent en erreur au mieux, dit le Professeur Ole Humlum, un glaciologue norvégien. Le froid extrême sur le Pôle antarctique révèle que des modèles de réchauffement global sont faux.

 

^ Glacier Franz-Joseph, en Nouvelle-Zélande. En rouge, sa minuscule langue en 1970, son recul maximum. Entouré de bleu, sa position en 2000.

 

Nouvelle-Zélande, le glacier Fox, en forte crue aussi.

Le glacier Périto-Moreno continue à avancer. Il se jette dans l’un des bras situés à l’ouest du Lago Argentino (le plus grand lac d’Argentine), mais son avancée est périodiquement bloquée par l’extrémité de la Péninsule de Magallanes. Le glacier crée ainsi un barrage naturel entre le Brazo Rico, au sud de la péninsule, et le Canal de los Témpanos qui contourne l’ouest de la péninsule et rejoint le Lago Argentino au nord. Alimenté par le glacier et divers torrents, mais ne disposant pas de voies d’écoulement, le Brazo Rico voit son niveau augmenter lorsque son accès au Canal de los Témpanos est totalement bouché par le glacier. Le différentiel entre les deux parties du lac continue à augmenter jusqu’au moment où la pression sur le barrage de glace est telle qu’une rupture se produit. De telles ruptures sont de véritables cataclysmes qui projètent d’un seul coup dans le lac des millions de mètres cubes de glace en même temps que le trop plein d’eau du Brazo Rico. Ce phénomène s’est produit une quinzaine de fois lors du vingtième siècle et pour la dernière fois en 1988. Au moment où ces photos ont été prises (fin nov. 2002) le glacier venait toucher la Péninsule de Magallanes, mais permettait encore la circulation d’eau entre les deux parties du lac. En bas à gauche, l’extrémité ouest du Brazo Rico, à la jonction avec le glacier. On constate que la côte de la péninsule est dépourvue de végétation jusqu’à environ 15 mètres au-dessus du niveau du lac, ce qui donne une idée du niveau qui peut être atteint avant chaque rupture du glacier.

E) Diminution de la salinité des océans de l?hémisphère nord?

 

Le graphique ci-dessous met en évidence l’imminence possible d’un effondrement de la circulation thermohaline, l’Atlantique Nord étant de plus en plus rafraîchi par les mers qui l’entourent, devenues moins salées au cours des quarante dernières années. (Adaptés par I. Yashayaev, de l?Institut Océanographique de Bedford, à partir de Abrupt Climate Change, Inevitable Surprises, National Research Council) Le nombre d?iceberg en 1990 au 48ème

parallèle était de 400, alors que maintenant il a triplé et est passé environ à 1200, statistiques établies par les lobbys pétroliers pour évaluer les risques de collision avec leurs plateformes off-shore et leurs pétroliers?

4) Une accélération exponentielle et autres évènements reliés au Gulf Stream.

En effet, déjà des gaz d’hydrate de méthane s’échappent du permafrost (Sous des conditions de température et de pression particulières, la glace (H2O) peut piéger des molécules de gaz, formant une sorte de cage emprisonnant les molécules de gaz. On appelle les composés résultants des hydrates de gaz ou encore des clathrates. Les gaz piégés sont variés, dont le dioxyde de carbone (CO2), le sulfure d’hydrogène (H2s), et le méthane (CH4).

Ces cages cristallines peuvent stocker de très grandes quantités de gaz. Pour l’hydrate de méthane, la fonte de 1 centimètre cube de cette glace libère jusqu’à 164 centimètres cubes de méthane ! , la courbe des températures a toutes les chances de s’emballer d’année en année. On peut facilement comprendre que si les politiques n’agissent pas extrêmement rapidement, on ne pourra plus revenir en arrière d’ici 10 ans ! Nous pensons à court terme, mais le moyen terme est pour demain, c’est une option catastrophique annoncée par tous les scientifiques. Hubert Reeves répond fréquemment aux médias sur le sujet. Ses réponses sont sans équivoque. Tout a déjà commencé et le chemin emprunté ne sera ni coupé ni entravé :

– En Mars 2004 le monde a vu un énorme ouragan toucher la côte brésilienne. C’est la première fois qu’un ouragan touche les côtes dans toute l’histoire de l’Amérique du Sud.

– En Mai 2004, les Etats-Unis ont été touchés par 562 tornades, en un seul mois, battant ainsi tous les records. Quelques unes de ces tornades ont été enregistrées à Seattle, Washington. Jamais une tornade n’avait touché Seattle.

– Pendant plusieurs années les feux de forêts ont brûlé partout dans le monde. La liste serait étendue. Le Nord de l’Australie était sous le feu et maintenant la Nouvelle-Calédonie où l?été vient à peine de débuter. L’Alaska brûlait. C’était sans précédent ! La totalité de l’Ouest des Etats-Unis était sous le feu, passant d’une région à une autre, le gouvernement américain annonçait que celle-ci est la pire sécheresse depuis 500 ans. Vraiment, les feux étaient partout dans le monde. Nous avons assisté à l’incendie qui se produisit en Alaska et qui y détruisit environ 4000 Kms de forêt. Ce feu brûlait une zone qui avait toujours été humidifiée par la pluie et la neige jusque là.

– La vague de chaleur de 2003 a causé la mort de 15.000 personnes en France et de 30.000 dans toute l’Europe, simplement par l’intense chaleur causée par le Réchauffement global et le Gulf Stream.

– L’Argentine en ce mois de Juillet 2004, a eu la plus grande tempête jamais connue jusqu?à présent.

– Le temps au Mexique est si imprévisible et humide dans certaines régions que les champignons apparaissent dans leurs cultures et dans d’autres régions c?est la sécheresse qui sévit.

– Les récifs coralliens du monde sont en train de mourir par le Réchauffement global, et ceci menace la plupart des îles, même celles du Pacifique. Quiconque vit sur la plupart des ces îles sera probablement amené à déménager tôt ou tard à cause de l’altération de l’eau fraîche par le sel de l’eau de mer. Finalement les gens devront quitter ces lieux quand le niveau des océans montera.

– L’Est du Canada a connu en 2003/2004 l’un des hivers les plus rudes de son histoire.

– Le Groenland il y a quelques jours dans la semaine du 5 au 12 décembre a battu son record de froid (depuis qu?on enregistre les températures) avec une température de -65.8 comme dans le film « le jour d?Après » d?ailleurs ?

– En Mongolie également, en 1999, le record de froid a été battu.

Tous ces évènements sont reliés au Gulf Stream, très bien expliqué dans le film « le Jour d?Après », et semble se produire sauf que ce ne sera jamais aussi rapide puisque c?est du cinéma.

5) L?influence du Jet-Stream et ses conséquences

Si l’on en croit ce qui est dit, le continent nord européen serait le plus « touché » – (avec un froid spectaculaire) – et dans une moindre mesure le nord-est canadien et américain. Il y aurait également des répercussions sur le nord asiatique.

Le seul « hic », c’est que bien qu’il soit prévu une chute des températures de l’ordre de 1°C par an dans nos régions, il y a peu de données concernant l’influence du Jet-Stream, et sa façon de réchauffer nos régions.

Il se pourrait ainsi que nous ayons des hivers particulièrement froids et longs, et des périodes estivales très courtes, mais :

– sans gulf stream, on peut s’attendre à des masses anticycloniques stagnantes sur l’atlantique nord

– des remontées chaudes poussées par le jet stream, notamment l’été, nous apportant ainsi de courtes périodes estivales, mais au combien chaudes et sèches, un peu comme l’été 2003.

Le temps que nous avons ces derniers temps (été 2004, chaud au sud, frais au nord avec de grosses différences thermiques aux extrêmes) est peut-être aussi une indication, sachant que le gulf stream a déjà perdu près de 20% de sa « force »… Reste à savoir quand l’assiette basculera.

III) Que faire ?

Il y a ceux qui croient que si nous continuons à baisser le niveau de CO2,

nous pourrions diminuer les problèmes et, bien entendu, nous devons faire tout ce qu’il est possible de faire. C’est important, car il y a d’autres courants que ceux de l’Atlantique Nord dans les divers océans, et s’ils venaient tous à ralentir ou à s’arrêter, la Terre serait confrontée à une véritable Ere Glaciaire. Et l’histoire montre que si ceci venait à se produire, notre civilisation ne reviendrait à une période normale que dans … 90.000 ans.

Mais en fait, changer ou augmenter tout le courant de l’océan Atlantique pour le ramener à la « normale » est au-delà des possibilités de la race humaine et de toutes ses technologies. Selon l’estimation de la plupart des grands scientifiques mondiaux, il est trop tard pour altérer le cours de ce qui est sur le point de se produire. Tout ce que nous pouvons faire est de nous préparer pour le choc. Et la préparation est essentielle. C’est l’objectif majeur des messages de Sir David King et d’Andrew Marshall.

Le mieux serait d?apprendre à survivre dans un froid de canard et apprendre à manger des racines (de pissenlit ?) ?

CONCLUSION :

Notre génération va connaître une catastrophe planétaire sans précédent ! Nous devrons apprendre à vivre avec le désert, le sable, une société dévastée par son étroitesse d’esprit.

Alors que les schémas climatiques commencent à se modifier de plus en plus radicalement, la production agricole deviendra un des plus grands problèmes.

En attendant, Hervé Le Treut confirme : « Les eaux de surface ne plongent plus, et il est très probable que l’on va assister à un phénomène de ce type » – c’est-à-dire à rien de moins que l’extinction du bienfaisant Gulf Stream. Ce ne serait d’ailleurs pas une première, car il y a déjà eu des « allers et retours climatiques importants », et le phénomène s’est produit à plusieurs reprises. Mais si nous devions de nouveau être privés provisoirement de notre « chauffage central tropical », serait-ce vraiment une consolation de se dire qu’il réapparaîtra sans doute… d’ici quelques siècles ou millénaires ?

De plus, la congélation sur place dans le film « Le Jour D?Après » n?est pas possible par le refroidissement venu de la haute atmosphère car quand il descend, il se condense et se réchauffe, mais on a retrouvé des mammouths avec encore de la nourriture dans leur estomac et même dans leur gueule?

Pendant que personne ne réagit, les ouragans se rapprochent de l?Europe, puis bientôt, cette dernière sera transformée en désert aride et froid?

Ce n?est qu?une question de temps, la machine est en marche et peut-être que l?on est déjà dans un phénomène de non-retour ; espérons que non?

Ce qui est sûr, c?est que le champ universel de la nature, qui était stabilisé depuis 10 000 ans, est rompu. L’Humanité a réussi là ou aucune espèce n’avait réussi : changer le climat et changer durablement sa destinée.

SOURCES :

http://la.climatologie.free.fr/stratosphere/stratosphere2.htm#vortex /

http://www.manicore.com/documentation/serre/tempete.html /

http://www.magic.be/InterieurNuit/SiteJan/Planete.html /

http://www.dissident-media.org/infonucleaire/climat.html /

http://www.mohr-mohr-and-mohr.com

http://www.arte-tv.com/fr/connaissance-decouverte/Climat/263376,CmC=358636.html /

http://www-lgge.ujf-grenoble.fr/axes/equipes/gaz/marqueur.shtml /

http://www.cybersciences.com/cyber/3.0/N447.asp /

http://www.cybersciences.com/cyber/4.0/decjan97/asol9612.asp /

http://www.dinosoria.com/climat.htm /

http://www.linternaute.com/voyager/desert/trek/groenland.shtml

http://www.unesco.org/courier/1999_11/fr/planete/txt1.htm

http://www.notre-planete.info/

http://www.thisislondon.co.uk/news/articles/9567967?source=Evening%20Standad

http://www.laterredufutur.com/ Http://laterredufutur.com/html

http://pageperso.aol.fr/mitchglaciers/introduction.html

 

Hervé Le Treut : climatologue ; directeur de recherche au laboratoire de météorologie dynamique qui dépend du CNRS de l’école normale supérieure de l’école polytechnique de l’université Paris 6eme ; prof chargé de cours à l’école polytechnique ; responsable d’une équipe de modélisation du climat ; ancien élève de l’ENS ; il a fait une thèse d’état au laboratoire de météorologie dynamique ; spécialiste de la modélisation du climat, du rôle des perturbations radiatives du climat, du rôle des nuages, du rôle des interactions entre océan et atmosphère. Parmi ses publications, outre de nombreux articles publiés dans des revues spécialisées, il a publié en 1994 climate sensitivity physical process and their validation chez springer qui est consécutif à l’organisation d’un atelier autant à Paris et en 1996-1997, il est co-auteur de « océan et atmosphère » paru chez Hachette.

 

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