Les Ilots Urbains, syndrome du réchauffement ?
Posté : 03 sept. 2010, 10:03
J'ouvre ce thème qui mérite aujourd'hui un sérieux débat :
Un îlot de chaleur est une zone urbanisée caractérisée par des températures plus élevées que l’environnement immédiat, avec des différences allant de 5 à 10 degrés C, qui sont notamment causées par une modification de la surface de la planète pouvant causer des problèmes respiratoires chez l’humain. Pour contrer ce phénomène, la végétalisation des zones affectées est une solution efficace. source Journal Métro
De nombreux articles revus par les pairs, ces dernières années, ont montré que la surestimation de la tendance au réchauffement liée à la contamination par l’urbanisation, à elle seule, est estimée entre 30 et 50%
Une sélection biaisée des sites de mesures combinées avec une interpolation des points vacants dans la grille de calcul pourrait augmenter le biais des “ilots de chaleur urbains” de plus de 50% quant au réchauffement du XXème siècle.
Au Canada, on est passé de 600 à moins de 50 stations. Le pourcentage de stations à basse altitude (moins de 300 pieds) à triplé, alors que celles à plus de 3000 pieds ont été réduites e moitié. Le réchauffement du Canada s’explique par l’interpolation des stations du sud pour remplir les cases vides de la grille. Par exemple, il n’existe aujourd’hui qu’une seule station au nord du 65e parallèle. Même une simple moyenne des stations disponibles montre un refroidissement! (p. 17 du rapport) source : http://www.rechauffementmediatique.org/
Ceci a été tiré de ce livre : http://scienceandpublicpolicy.org/image ... e_temp.pdf
Article qui en découle :
http://www.rechauffementmediatique.org/ ... e-surface/
L'îlot de chaleur urbain : définition et fonctionnement
Les hommes de science se sont depuis l'Antiquité intéressés aux relations entre le climat et la ville, que ce soit tout d'abord dans la prise en compte des conditions climatiques d'un site pour l'implantation et la conception architecturale des cités ou, plus tard, dans l'influence de la ville sur ses habitants et son environnement, notamment en matière de pollution de l'air.
Cependant, la mise en évidence d'un climat spécifiquement urbain n'intervient qu'au début du XIXe siècle, lorsque le pharmacien britannique Luke Howard publie entre 1818 et 1820 Le climat de Londres, ouvrage qui étudie, à partir d'une série de relevés météorologiques d'une période de neuf ans, la température, les précipitations et le brouillard, le fameux smog, de la capitale anglaise. Il note ainsi une différence des températures nocturnes de l'ordre de 3,70 °C entre le centre de Londres et sa campagne, ce que l'on nomme aujourd'hui "îlot de chaleur urbain" (ICU).
L'îlot de chaleur urbain est un effet de dôme thermique, créant une sorte de microclimat urbain où les températures sont significativement plus élevées : plus on s'approche du centre de la ville, plus il est dense et haut, et plus le thermomètre grimpe. source : http://www.notre-planete.info/
A voir tout un article ici :
http://www.notre-planete.info/geographi ... bain_0.php
La température des zones urbaines et péri-urbaines est supérieure à celle des zones rurales environnantes. Cette différence peut atteindre une amplitude de 10°C dans les cas extrêmes. Elle est particulièrement marquée en hiver et la nuit, ce qui correspond à la tendance observée du réchauffement global (hausse des températures minimales plus que maximales). Le GIEC a écarté d'un revers de la main l'importance de ces "îlots de chaleur urbains" (ICU), en estimant leur éventuelle contribution à la hausse séculaire des températures à 0,05°C seulement. Or, de nombreuses études récentes ont montré que l'amplitude des ICU n'a fait que croître, que bon nombre de zones considérées comme "rurales" dans les enregistrements sont en fait péri-urbaines, que l'essentiel du réchauffement global moyen s'est concentré sur une part limitée du globe, la plus industrialisée. L'ensemble de ces travaux récents conduit à deux hypothèses : a) le réchauffement de 0,6°C peut être dû à une surestimation de la température urbaine dans la température globale ; b) quelle que soit la valeur du réchauffement réel du globe, la responsabilité des gaz à effet de serre est sans doute moindre que prévu. Ce qui invalide du même coup la plupart des modèles attribuant aux seuls GES un effet majeur sur la hausse des températures.
Si vous habitez à la campagne, et que vous regardez à la télévision les cartes de prévision météorologique, vous n'aurez pas manqué de constater un décalage constant entre la température annoncée de votre région et la température réellement observée à votre thermomètre. La raison en est simple : les températures concernent les grandes métropoles, où vivent une forte proportion de la population, et non les zones rurales. Un habitant des zones limitrophes de la région parisienne voit donc sur la carte météo du journal TV la température de Paris intra muros, qui est souvent supérieure de plusieurs degrés à celle des campagnes du bassin parisien. source : http://climat-sceptique.over-blog.com/
Donc pour résumé, le phénomène des ilots urbains contribuent très sérieusement dans les bornes météos qui s'y situent en grande partie. Avec de telles mesures, est ce que ces ilots urbains ne seraient ils pas le vrai syndrome du réchauffement climatique
Un îlot de chaleur est une zone urbanisée caractérisée par des températures plus élevées que l’environnement immédiat, avec des différences allant de 5 à 10 degrés C, qui sont notamment causées par une modification de la surface de la planète pouvant causer des problèmes respiratoires chez l’humain. Pour contrer ce phénomène, la végétalisation des zones affectées est une solution efficace. source Journal Métro
De nombreux articles revus par les pairs, ces dernières années, ont montré que la surestimation de la tendance au réchauffement liée à la contamination par l’urbanisation, à elle seule, est estimée entre 30 et 50%
Une sélection biaisée des sites de mesures combinées avec une interpolation des points vacants dans la grille de calcul pourrait augmenter le biais des “ilots de chaleur urbains” de plus de 50% quant au réchauffement du XXème siècle.
Au Canada, on est passé de 600 à moins de 50 stations. Le pourcentage de stations à basse altitude (moins de 300 pieds) à triplé, alors que celles à plus de 3000 pieds ont été réduites e moitié. Le réchauffement du Canada s’explique par l’interpolation des stations du sud pour remplir les cases vides de la grille. Par exemple, il n’existe aujourd’hui qu’une seule station au nord du 65e parallèle. Même une simple moyenne des stations disponibles montre un refroidissement! (p. 17 du rapport) source : http://www.rechauffementmediatique.org/
Ceci a été tiré de ce livre : http://scienceandpublicpolicy.org/image ... e_temp.pdf
Article qui en découle :
http://www.rechauffementmediatique.org/ ... e-surface/
L'îlot de chaleur urbain : définition et fonctionnement
Les hommes de science se sont depuis l'Antiquité intéressés aux relations entre le climat et la ville, que ce soit tout d'abord dans la prise en compte des conditions climatiques d'un site pour l'implantation et la conception architecturale des cités ou, plus tard, dans l'influence de la ville sur ses habitants et son environnement, notamment en matière de pollution de l'air.
Cependant, la mise en évidence d'un climat spécifiquement urbain n'intervient qu'au début du XIXe siècle, lorsque le pharmacien britannique Luke Howard publie entre 1818 et 1820 Le climat de Londres, ouvrage qui étudie, à partir d'une série de relevés météorologiques d'une période de neuf ans, la température, les précipitations et le brouillard, le fameux smog, de la capitale anglaise. Il note ainsi une différence des températures nocturnes de l'ordre de 3,70 °C entre le centre de Londres et sa campagne, ce que l'on nomme aujourd'hui "îlot de chaleur urbain" (ICU).
L'îlot de chaleur urbain est un effet de dôme thermique, créant une sorte de microclimat urbain où les températures sont significativement plus élevées : plus on s'approche du centre de la ville, plus il est dense et haut, et plus le thermomètre grimpe. source : http://www.notre-planete.info/
A voir tout un article ici :
http://www.notre-planete.info/geographi ... bain_0.php
La température des zones urbaines et péri-urbaines est supérieure à celle des zones rurales environnantes. Cette différence peut atteindre une amplitude de 10°C dans les cas extrêmes. Elle est particulièrement marquée en hiver et la nuit, ce qui correspond à la tendance observée du réchauffement global (hausse des températures minimales plus que maximales). Le GIEC a écarté d'un revers de la main l'importance de ces "îlots de chaleur urbains" (ICU), en estimant leur éventuelle contribution à la hausse séculaire des températures à 0,05°C seulement. Or, de nombreuses études récentes ont montré que l'amplitude des ICU n'a fait que croître, que bon nombre de zones considérées comme "rurales" dans les enregistrements sont en fait péri-urbaines, que l'essentiel du réchauffement global moyen s'est concentré sur une part limitée du globe, la plus industrialisée. L'ensemble de ces travaux récents conduit à deux hypothèses : a) le réchauffement de 0,6°C peut être dû à une surestimation de la température urbaine dans la température globale ; b) quelle que soit la valeur du réchauffement réel du globe, la responsabilité des gaz à effet de serre est sans doute moindre que prévu. Ce qui invalide du même coup la plupart des modèles attribuant aux seuls GES un effet majeur sur la hausse des températures.
Si vous habitez à la campagne, et que vous regardez à la télévision les cartes de prévision météorologique, vous n'aurez pas manqué de constater un décalage constant entre la température annoncée de votre région et la température réellement observée à votre thermomètre. La raison en est simple : les températures concernent les grandes métropoles, où vivent une forte proportion de la population, et non les zones rurales. Un habitant des zones limitrophes de la région parisienne voit donc sur la carte météo du journal TV la température de Paris intra muros, qui est souvent supérieure de plusieurs degrés à celle des campagnes du bassin parisien. source : http://climat-sceptique.over-blog.com/
Donc pour résumé, le phénomène des ilots urbains contribuent très sérieusement dans les bornes météos qui s'y situent en grande partie. Avec de telles mesures, est ce que ces ilots urbains ne seraient ils pas le vrai syndrome du réchauffement climatique