Terra Projects

Bonjour Fred,
Les biefs du Pilat continuent leur petit chemin pour promouvoir le concept de la Gestion Globale de la ressource en eau.
En 10 ans d'existance l'association a reçu 60000 visiteurs sur sont site et quelques contacts plus ou moins intéressants.
Depuis quelque mois le concept rejoint le problème du climat car un expert "compétent et actif " sur ces questions nous a visité et reprend ( en citant les biefs du Pilat ) le concept sur son blog
Mr Patric Hernu , président de France bleu met en avant la solution des biefs pour réhydrater les continents car l'assèchement climatique est la vrai cause des troubles climatiques

http://www.facebook.com/patrice.hernu?v ... &ref=notif

Bonjour Jean, je viens de déplacer ton post dans le bon forum des Solutions.

Pour rappel, pour ceux qui ne connaissent pas les Biefs du Pilat, un article avait été créé en 2006 :
http://www.laterredufutur.com/html/modu ... le&sid=375

Une solution pour la gestion globale de l'eau.

Merci pour ce sujet, très intéressant en tout cas ! .

Tout à fait intéressant en effet

Ces biefs sont le B.A. BA de l'irrigation, telle qu'on l'a pratiquée depuis des millénaires dans certaines régions. L'idée de suivre les courbes de niveaux, ce qui permet une légère pente et donc un courant continu, une eau qui ne stagne pas, est une superbe idée en montagne. En plaine, elle peut d'ailleurs s'adapter, avec une noria ou des roues à aubes pour initier un courant.

On en revient donc également à avoir une eau pure. La préservation de cette eau pure passe par l'élimination de la source des polluants. Dans certains pays, cela peut s'avérer très compliqué.

On a réussi à dépolluer des lacs qu'on croyait devenus abiotiques à jamais. Le problème n'est pas tant la technique mais la volonté et le coût. On touche là aux effets pervers du libéralisme ou, plus exactement, de la gestion de la planète par une poignée d'oligarques avides de profits immédiats.

Quand on nous dit :"Les craintes de voir disparaître le lac Tchad existent depuis longtemps : elles s’appuient non pas sur les changements climatiques, mais sur les risques d’une capture du Logone, au niveau d’Eré, par la Bénoué (le géographe Jean Dresch avait étudié cette question à la fin des années 1940)." que veulent ils dire exactement ??

Williams

Bonjour

La réponse à votre question est dans ce doc :
http://horizon.documentation.ird.fr/exl ... /11215.pdf

D'après ce que j'ai compris, la Lagone pourrait changé son trajet et au lieu de se déversé dans le Chari puis le Lac Tchad, il se déverserait au niveau d'Eré (Centre-ouest de la carte, ouest du fleuve Chari et au dessous de la ville Bongor) dans le Mayo kebi puis la Bénoué et enfin le Niger (le fleuve).

La disparition du Lac Tchad, si elle doit se produire, se fera donc de façon tout à fait naturel.

ggdu01 a écrit :Bonjour

La réponse à votre question est dans ce doc :
http://horizon.documentation.ird.fr/exl ... /11215.pdf

D'après ce que j'ai compris, la Lagone pourrait changé son trajet et au lieu de se déversé dans le Chari puis le Lac Tchad, il se déverserait au niveau d'Eré (Centre-ouest de la carte, ouest du fleuve Chari et au dessous de la ville Bongor) dans le Mayo kebi puis la Bénoué et enfin le Niger (le fleuve).

La disparition du Lac Tchad, si elle doit se produire, se fera donc de façon tout à fait naturel.

Ah ok merci.

Donc en plus de l'influence du AMO il pourait y avoir ceci. Car l'evolution des précipitations dans le Sahel évoluent suivant l'AMO : http://la.climatologie.free.fr/secheres ... 2.htm#sec8 puis http://la.climatologie.free.fr/amo/amo.htm#consequences

Williams