Terra Projects

Ces zones dépressives, ré-alimentées par de l'eau venant de la Méditerranée, grâce à de simples canaux ou quelques tunnels en dessous du niveau de la mer, permettraient de recréer de très vastes zones d'évaporation, le meilleur moyen à même d’augmenter l'hygrométrie alentours, les quantités de rosée, et peut-être aussi d’accroître la fréquence des trop rares précipitations...

Les phosphates et des nitrates.
Sur la rive Sud de la Méditerranée, l’absence d’usine de retraitement dans plus de la moitié des villes de 10 000 habitants et plus entraîne une prolifération des phosphates et des nitrates.
Les métaux lourds.
Sur la rive Nord, les grandes pollutions héritées du passé se poursuivent, notamment avec des «métaux lourds qui se mélangent aux sédiments des fleuves comme le Rhône, le Pô ou l’Ebre», constate le sénateur qui donne des chiffres : 1292 tonnes de zinc, 707 tonnes de chrome ou 330 tonnes de cuivre pollueraient actuellement la mer.
Les pesticides.
Les fleuves charrient également les pesticides et tous les produits phyto-sanitaires utilisés par l'ensemble de l'agriculture du bassin.
Les hydrocarbures.
Le dégazage est considéré comme un fléau et le sénateur estime que ces rejets d’hydrocarbures par des «capitaines voyous des mers» atteignent 100 000 à 200 000 tonnes. Il y ajoute les pollutions liées aux vieilles plateformes pétrolières.
Les matières plastiques.
Les matières plastiques sous forme de sacs s’accumulent, se déchirent et participent à la polymérisation de la mer. «Les morceaux de plastique se dégradent et se collent aux fonds sous-marins. Ils agissent comme des bombes à fragmentation et à retardement » affirme Roland Courteau qui évoque une confusion chez les poissons entre les sacs et les méduses : «On a pêché au large de Sète des poissons dont l'estomac était tapissé de petits bouts de plastique. On ne sait pas assez qu'en Méditerranée on trouve en moyenne 60 divers objets en plastique au km2 ».
Les bouteilles et cigarettes.
Le rapporteur demande aux touristes usagers des plages de cesser de jeter leurs mégots dans le sable ou d’abandonner leurs bouteilles et boîtes de conserves. Ces objets jetés par négligence ou oubliés par distraction mettront parfois des dizaines d’années à se dégrader.
Les médicaments.
C’est un phénomène assez récent comme le montre un rapport de l’Académie de pharmacie de 2008. La surconsommation de médicaments chez les touristes et les riverains de la Méditerranée entraînent la pollution pharmaceutique de la mer. Ainsi trouve-t-on des molécules d’antibiotiques et d’anticancéreux ainsi que des perturbateurs endocriniens, comme les contraceptifs.
Les crèmes solaires.
Des cosmétiques et autres crèmes solaires possèdent des «nanomatériaux» très polluant, a constaté en 2006 une étude de l’association Amis de la Terre / Friends of the Earth Etats-Unis. On y trouve, relève-t-elle, « des oxydes de métal et des sphères de carbones de taille nanométrique, appelées «fullerènes», ainsi que des nanocapsules dans le but de pénétrer plus profondément les couches de la peau ». Or, il a été démontré que ces produits provoquent des lésions du cerveau chez les poissons (et du foie chez l’homme). En l’absence de progrès dans la cosmétologie, le sénateur Courteau estime qu’il faut «responsabiliser les touristes» et leur demander de moins consommer de cosmétiques.

voilà ce qui arrive quand on met le doigt dans un engrenage ; le professeur Nimbus rapplique avec ses idées de sauver la Terre et le Climat; il va nous transformer la Méditerranée en Pont Euxin, le Sahara en marais salant comme au crétacé ; il va falloir remettre des ports à flot, les rivières vont creuser et les nappes s'enfoncer ; avec toute l'évaporation, la température va augmenter (oui la vapeur d'eau est un GES bien plus puissant que le CO2), les cyclones se renforcer , la cata quoi; Horace, si vous voulez faire quelque chose pour la nature , occupez vous du loup et des tétras dans le massif du Donon
http://www.laterredufutur.com/html/phpB ... 570#p51570

Et les nuages faisant de l'ombre au sol, en font diminuer la température.