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Un monde extraterrestre

planete habitable

planete habitableNotre univers, un vaste domaine d’exploration pour notre civilisation future, dans un monde qui aurait environ 200 milliards de galaxies et une galaxie comprendrait 200 milliards d’étoiles. Il est également estimé qu’il y aurait 1570 milliards de planètes dans notre seule galaxie. L’ironie dans ces chiffres, c’est que cela serait un paradoxe qu’il y ait une seule et unique planète où la vie se serait développée : Cette planète c’est la notre. Dans ces chiffres, il serait tout aussi extraordinaire qu’il y ait que la Terre sur 1570 milliards de planètes. Aussi il est statistiquement admis que notre galaxie posséderait 15 milliards de planètes « vivables » type Terre.


L’idée que des planètes autres que la Terre puissent accueillir la vie est ancienne. Au cours de l’histoire, le débat a été autant philosophique que scientifique. La fin du xxe siècle a été le théâtre de deux découvertes majeures. Tout d’abord, l’observation et l’exploration par des sondes de planètes et satellites du système solaire ont fourni des informations essentielles qui ont permis de définir des critères d’habitabilité et des comparaisons géophysiques entre la Terre et les autres corps célestes. D’autre part, la découverte de planètes extrasolaires, qui a débuté en 1995 et s’est accélérée depuis, a été le second tournant important. Elle a confirmé que le Soleil n’est pas la seule étoile à abriter des planètes et a élargi le champ des recherches sur l’habitabilité au-delà du système solaire.

Des scientifiques ont aussi émis l’hypothèse que certaines zones de la galaxie (« zones galactiques habitables ») permettent mieux que d’autres l’existence de la vie. Le système solaire dans lequel nous vivons, dans le bras d’Orion, sur un côté de la Voie lactée, est considéré comme étant un emplacement favorable. Très éloigné du centre galactique, il évite certains dangers :

Il n’est pas dans un amas globulaire.

Il n’est pas à proximité d’une source active de rayons gamma.

Il est éloigné du trou noir supermassif communément associé à Sagittarius A*.

L’orbite circulaire du soleil autour du centre galactique ne le fait pas rencontrer un des bras spiraux de la galaxie, où les radiations intenses et la gravitation perturberait considérablement toute forme de vie.

Un isolement stellaire relatif est en définitive ce dont un système où la vie est présente a besoin. Si le système solaire était entouré de nombreux systèmes voisins, ceux-ci pourraient déranger la stabilité des orbites des objets du système solaire (notamment les objets du nuage de Oort et de la ceinture de Kuiper qui pourraient avoir des conséquences catastrophiques s’ils étaient déviés vers l’intérieur du système solaire). Des proches voisins augmentent aussi la possibilité d’être dans la zone fatale d’un pulsar ou d’une explosion de supernova.

Pandora

A la conquête d’une planète vivable

Pour la première fois, des astronomes ont découvert une planète située hors de notre système solaire, où les conditions météorologiques sont hypothétiquement réunies pour accueillir la vie … Effectivement, cette planète baptisée 581 c, qui orbite autour de son étoile à 20,5 années-lumière (soit 193.000 milliards de kilomètres) de notre planète, possède des caractéristiques essentielles pour être habitable. Cette exo-planète aurait une température moyenne comprise entre -3 et 40 degrés Celsius, ce qui autorise la présence d’eau liquide à sa surface. Son rayon serait 1,5 fois celui de la Terre, ce qui indiquerait soit une constitution rocheuse (comme pour la Terre), soit une surface couverte d’océans, soit une surface rocheuse mais qui abriterait des océans (l’inverse de la Terre où l’océan abrite des continents). La gravité à sa surface est 2,2 fois celle à la surface de la Terre, et sa masse très faible (5 fois celle de la Terre).

L’Eso  (Organisation européenne pour la recherche astronomique dans l’hémisphère austral), basé au Chili, a déclaré, lors de la conférence internationale d’astronomie de Porto, qu’on compte plus de 400 planètes extrasolaires. Certaines de ces exoplanètes (celles qui ont une dimension assez grande que celle de la Terre) semblent être vivables, tandis que d’autres, ne semblent pouvoir accueillir aucune vie.

Une frange entière de scientifiques revendique désormais être convaincue qu’il est plus que probable que l’univers soit infesté d’organismes vivants. Si cette théorie n’est pas complètement nouvelle dans les rangs scientifiques, et comptait même déjà quelques fervents défenseurs à l’instar d’un Stephen Hawking.

Mais une rencontre avec une autre civilisation extraterrestre peut s’avérer compliquée pour les raisons suivantes. quand on connait la difficulté d’entente entre les membres imparfaits de notre espèce, cet objectif pour aussi grandiose qu’il soit, n’en est pas moins parfaitement utopique. Inutile de rappeler que 2000 ans laissent largement le temps de tuer Jesus, de faire un bon millier de guerres, et simplement détruire la planète cinq ou six fois quand on sait les dégâts occasionnés en à peine cent ans et trois ou quatre révolutions industrielles.

Si Alan Boss (Institution for Science Department of Terrestrial Magnetism) imagine déjà que l’on puisse trouver de nombreuses planètes habitables, il est par contre déjà beaucoup plus sceptique quant à l’idée que l’Homme rencontre un jour une forme de vie intelligente, rejoignant en ce sens les propos tenus par Stephen Hawking en avril dernier lors d’un colloque organisé dans le cadre des cérémonies pour les 50 ans de la NASA.  Boss va même plus loin dans le raisonnement  que son confère et avance que pour lui, deux formes de vies intelligentes n’ont qu’une chance  très infime de se rencontrer en raison de la brièveté de leur existence respective, « une fraction de temps à l’échelle de l’univers ». Il concède tout juste que peut-être que deux formes d’intelligences primaires de types bactéries ou microbes pourraient peut-être coïncider en terme d’espace temps, avant de conclure froidement que de toute façon, il est « assez peu probable que nous existions encore d’ici 100 000 ans » .

Cette vision reste néanmoins pessimiste à moins qu’elle soit simplement très ojbective. Il est également concevable de se dire que la rencontre avec une civilisation extraterrestre doit être tenue à l’écart. En effet, une civilisation plus évoluée pourrait très bien reproduire des évènements comme le fit Cortex avec son armée lors de la rencontre avec les amérindiens au XVI eme siècle.

Cependant la recherche d’une planète habitable est le moyen de trouver une nouvelle Terre, une sorte de planète de replis ou encore un moyen de relancer notre civilisation. L’histoire raconte que c’est grâce à la découverte de nouveaux territoires que l’Humanité a pu se sortir des crises du passé. La découverte de l’Amérique a relancé un monde à bout de souffle miné par des guerres intestines au moyen age. Il n’est pas anodin que la fin du moyen age soit situé en l’an 1500. La découverte d’une nouvelle planète habitable et accueillante pour l’Humanité sera un second souffle à l’Humanité qui sera propulsée dans une nouvelle ère totalement inimaginable. Notre époque est située dans une humanité qui n’a pas quitté son berceau. Les révolutions les plus impactantes sur notre civilisation ne sont pas du passé mais du futur. On ne se pose plus la question de savoir s’il existe une planète habitable, mais plutôt quand est-ce qu’on va la découvrir.

A lire cet article précédent, la découverte d’une nouvelle planète habitable est imminente. Bienvenue dans un monde extraterrestre.

sources : http://fr.wikipedia.orghttp://www.esraonline.com/http://www.franceastro.com/ /

http://www.abstrait-concret.com/ /

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