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Notre système solaire a-t-il abrité une super-terre ?

The exoplanet Corot-7b is so close to its Sun-like host star that it must experience extreme conditions. This planet has a mass five times that of Earth’s and is in fact the closest known exoplanet to its host star, which also makes it the fastest — it orbits its star at a speed of more than 750 000 kilometres per hour. The probable temperature on its “day-face” is above 2,000 degrees, but minus 200 degrees on its night face. Theoretical models suggest that the planet may have lava or boiling oceans on its surface. Our artist has provided an impression of how it may look like if it were covered by lava. The sister planet, Corot-7c, is seen in the distance.

Depuis quelques temps déjà la chasse aux exoplanètes est lancée. Le télescope Kepler en découvre toujours plus et on commence également à savoir un certain nombre de choses sur elles. L’étude de ces systèmes n’est d’ailleurs pas dénuée de sens, loin de là, et elle nous permet d’en apprendre plus sur notre propre système solaire.

Car nous sommes encore loin de tout connaître du système dans lequel nous vivons. La preuve la plus flagrante à ce jour est probablement la fameuse neuvième planète qui n’a ce cesse de faire parler d’elle ces derniers temps. Aujourd’hui une autre hypothèse voit le jour : et si une autre planète avait vu le jour autour de notre Soleil ?

Une Super-Terre qui aurait voulu un peu trop se rapprocher du Soleil…
Cette planète serait une Super-Terre et aurait finalement été détruite par le Soleil.

Une Super-Terre avalée par notre Soleil

Tout comme pour Planet Nine, c’est l’analyse numérique qui a mené à cette hypothèse. Après avoir fait quelques simulations, des chercheurs sont en effet parvenus à la conclusion qu’une planète aurait pu voir le jour dans notre système solaire, entre le Soleil et Mercure.

Cette planète aurait eu la taille d’une Super-Terre. Autrement dit, elle aurait donc été plus grosse que notre bonne vieille planète bleue, sans pour autant dépasser la taille de Neptune.

Pour se former, la planète aurait ainsi récupéré tout ce qui passait sous son orbite. Ces débris se seraient donc agrégés jusqu’à créer une Super-Terre qui n’aurait pas mis très longtemps à disparaître sous l’effet de forces trop importantes en provenance de l’étoile.

Une Super-Terre qui n’aurait donc pas vécu bien longtemps et dont nous n’avons plus aucune trace à ce jour. Comment alors être sûr qu’elle a bel et bien existé ?

Selon les mêmes chercheurs, il n’existe qu’une seule « preuve » physique actuelle appuyant l’hypothèse de l’existence de cette Super-Terre : l’absence de débris aux alentours de Mercure.

Rien n’orbite autour de Mercure. Entre la petite planète et le Soleil, il n’y a rien, pas un seul débris. Cela pourrait donc s’expliquer grâce à cette fameuse Super-Terre : avant de disparaître, elle aurait pris soin de dégager entièrement la zone.

Notre système solaire n’a décidément pas fini de dévoiler ses secrets.

source : http://www.fredzone.org/

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