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Il faut oublier le réchauffement climatique

temperature globale

temperature globaleOubliez le réchauffement mondial car c’est du cycle 25 dont il faut désormais s’inquiéter (si les scientifiques de la NASA ont raison, la Tamise pourrait à nouveau être totalement prise en glace)… C’est en ces mots que l’excellent site ami http://www.skyfall.fr nous rappelait fin janvier 2012 que le climat n’est pas une science si facile à étudier. Il est également clair que l’issue dramatique et pronostiquée du réchauffement climatique par le GIEC n’est plus une certitude. Bien au contraire, comme nous l’avons également annoncé sur la Terre du Futur, le futur climatique dépend également de l’aspect solaire qui a été largement sous estimé voir occulté depuis quelques années.


Le supposé « consensus » sur le réchauffement anthropique se retrouve face à un défi génant après la publication de nouvelles données sur la température montrant que la planète ne s’est pas réchauffée depuis 15 ans.

Les chiffres suggèrent que nous pourrions même nous diriger vers un mini-age de glace qui rivaliserait avec la chute de températures de 70 ans qui vit la Tamise geler au 17th siècle.

Basées sur les mesures issues de plus de 30.000 stations, les données ont été discrètement publiées la semaine dernière  par le Met Office et l’Unité de recherche sur le climat de l’Université d’East Anglia. Elles confirment que la tendance à la hausse des températures dans le monde a pris fin en 1997.

Entre temps, ces climatologues de haut niveau ont déclaré fin janvier 2012 au Mail qu’après avoir émis de hauts et inhabituels niveaux d’énergie tout au long du 20ème siècle, le soleil se dirige maintenant vers un « grand minimum »  d’émissions, avec des étés froids, des hivers glaciaux et un raccourcissement de la saison de végétation.
Le soleil connaît des cycles de 11 ans, avec  vus à leur apogée, un nombre élevé de taches solaires. Nous sommes actuellement à ce que devrait être l’apogée du 24ième cycle, ce qui explique pourquoi la tempête solaire de la semaine dernière a donné lieu à des observations d’aurores boréales plus au sud que d’habitude. Mais le nombre de taches solaires est de moitié moins important que lors des autres maxima du 20ème siècle.
L’analyse
des experts de la NASA et l’Université de l’Arizona, de mesures du champ magnétique 120 000 miles sous la surface du soleil, suggèrent que l’apogée du cycle 25, prévue en 2022, sera encore bien plus faible.
rechauffement climatique est fini

Selon le document publié fin janvier 2012 par le Met Office, il y a 92 pour cent de chances qu’à la fois le cycle de 25 et ceux des décennies suivantes seront aussi faibles voire plus faibles que le « minimum de Dalton » de 1790 à 1830. Durant cette période, nommé d’après le météorologue John Dalton, les températures moyennes de certaines régions d’Europe ont chuté de 2C.

Toutefois, il est aussi possible que la baisse d’énergie solaire puisse être aussi marquée que le «minimum de Maunder» (d’après l’astronome Edward Maunder), entre 1645 et 1715, la période la plus froide du «Petit Âge glaciaire», lorsqu’en même temps que se tenaient les foires sur glace de la Tamise, les canaux de Hollande gelaient.
Pourtant, le Met Office affirme que les conséquences d’une telle baisse seraient aujourd’hui négligeables car l’impact du soleil sur le climat est plus faible que le dioxyde de carbone anthropique. Bien que le soleil puisse décliner jusqu’en 2100, « Cela ne ferait que provoquer une diminution de la température globale de la 0.08C. Nos résultats suggèrent qu’une réduction de l’activité solaire à un niveau jamais depuis des centaines d’années seraient insuffisantes pour compenser l’influence dominante des gaz à effet de serre. «  selon un des auteurs Peter Stott.

Ces résultats sont farouchement contestés par d’autres experts du soleil.

Les températures mondiales pourraient finir bien plus froides qu’actuellement pour les les 50 ans à venir ».a déclaré Henrik Svensmark, directeur du Center for Sun-Climate Research au Danemark National Space Institute. «Cela sera un long combat de convaincre certains scientifiques spécialistes du climat que le soleil est important. Il se pourrait bien que le soleil va le démontrer tout seul, sans avoir besoin de leur aide.  » Il a souligné qu’en revendiquant que l’effet du minimum solaire serait faible, le Met Office s’est appuyé sur les mêmes modèles informatiques mis en cause par la pause actuelle dans le réchauffement climatique.

Les niveaux de CO2 ont continué à augmenter sans interruption et, en 2007, le Met Office avait affirmé que le réchauffement climatique était sur le point de «réapparaître massivement ». Il aavait déclaré qu’entre 2004 et 2014 il y aurait une augmentation globale de 0,3 °C. En 2009, il prédisait qu’au moins trois des années 2009 à 2014 battraient le record antérieur de 1998.
Article complet ici : http://www.skyfall.fr/?p=1004

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