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Et si la NASA se mettait à douter du changement climatique ?

La Nasa serait-elle sur le point de changer son fusil d’épaule concernant le réchauffement climatique ?

La NASA, qui est l’un des principaux instigateurs de la théorie de l’effet de serre et du changement climatique, à la suite des affirmations douteuses de James Hansen relatives à la transposition à la Terre de l’état de l’atmosphère de Vénus, serait-elle sur le point de changer son fusil d’épaule ?



On est en droit de constater que le doute s’installe dans l’esprit des ingénieurs de cette organisation tentaculaire qui a largement bénéficié de crédits exceptionnels pour développer une recherche en tous genres afin de surveiller ce changement climatique qui désespérément n’arrive toujours pas…


Le principal fautif est censé être le CO2. Or ce gaz est essentiel à la vie sur Terre et dans les océans. Sans CO2, pas de plantes ni de plancton, c’est aussi simple que cela. Certains maraîchers le savent bien, si on enrichit l’atmosphère d’une serre en CO2, en restant dans des limites raisonnables, les plantes poussent plus vigoureusement. Ce phénomène est très bien expliqué car l’enzyme qui fixe le CO2, la RUBISCO, ne sait pas trop s’il doit s’occuper de l’oxygène ou du gaz carbonique pour son bon fonctionnement. Dès lors qu’on enrichit l’atmosphère en CO2, l’équilibre fonctionnel de la RUBISCO est déplacé vers une fixation plus rapide de CO2. Tous les biologistes qui se sont penchés sur le fonctionnement des plantes le savent très bien.

Apparemment, avec une flottille considérablement coûteuse de satellites et d’aéronefs renifleurs de CO2 épaulés par de non moins coûteuses observations sur le terrain, la NASA a fini par enfoncer une porte ouverte : plus il y a de CO2, plus les forêts tropicales ont tendance à piéger ce gaz accusé de tous les maux ! Au moins on est rassuré car la tendance des forêts tropicales à incorporer le CO2 atmosphérique en surplus en raison des activités humaines déraisonnables contrebalance largement le déficit d’absorption des forêts boréales qui, comme chacun sait, souffrent gravement du réchauffement climatique. Seulement, il y a un gros hic selon les ingénieurs experts en modélisation en tous genres du Jet Propulsion Laboratory à Pasadena : le réchauffement climatique risque de mettre en péril les ressources en eau à la suite de sécheresses prolongées. On ne sait pas trop s’il s’agit de périodes de longue sécheresse dans les zones inter-tropicales qui sont à redouter ou si ces perturbations hydrologiques affecteront plus dramatiquement les forêts boréales.


Néanmoins, le réchauffement climatique perturbera inévitablement l’immobilisation du carbone par les forêts et il faudra encore plus de satellites, d’avions, de ballons-sonde et d’autres moyens terrestres pour être enfin absolument certain que le réchauffement climatique perturbe à grande échelle le cycle du carbone. Mais au fait, c’est quand que ça se réchauffe vraiment ? Depuis 18 ans les températures n’ont pas sensiblement augmenté, le Niño tant attendu n’est toujours pas au rendez-vous, les Seychelles et les Tuamotu n’ont toujours pas été submergées, les glaciers de l’Himalaya ne fondent toujours pas, les vagues de froid se succèdent en Amérique du Nord, la navigation circum-boréale est toujours impossible et les glaces de l’Antarctique ne fondent toujours pas à la vitesse prévue par les modèles… de la NASA et on ne parle plus du trou d’ozone.

Difficile de croire dans ces conditions que le soi-disant réchauffement climatique dont le GIEC parle à longueur de communiqués de presse et de publications scientifiques (qui n’ont plus rien de scientifique) puisse constituer une menace dont il faille se préoccuper à grands coups de milliards de dollars !

A revoir sur TDF : Le réchauffement climatique est causé par les CFC et non pas le CO2


Source : Jet Propulsion Laboratory News

Source France : https://jacqueshenry.wordpress.com

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