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De nouvelles données montrent un refroidissement océanique

Par DENNIS AVERY et ALEX AVERY

Les océans du monde se sont refroidis soudainement entre 2003 et 2005, perdant plus de 20 % de la chaleur du réchauffement global qu’ils avaient absorbés au cours des 50 dernières années. C’est une vaste quantité de  chaleur, puisque les océans contiennent 1.000 fois plus de chaleur que l’atmosphère. Les scientifiques qui ont découvert ce refroidissement disent que la chaleur a été probablement expulsée dans l’espace, puisqu’on ne l’a pas trouvé « stockée » sur terre.

John Lyman, du laboratoire environnemental marin de l’administration Nationale océanique et atmosphérique du Pacifique, dit que les nouvelles effrayantes du refroidissement océanique viennent des nouveaux flotteurs et capteurs de températures de l’océan d’ARGO étant distribués dans le monde entier. ARGO complète d’anciennes taches blanches sur le système de surveillance océanique du monde et complète également énormément nos incertitudes passées sur les rares températures disponibles océaniques.

Lyman indique la découverte d’une croyance soudaine d’une arrivée d’un refroidissement océanique dans les prévisions de  réchauffement global parce que les refroidissements interrompent aléatoirement les tendances présentées par les modèles globaux de circulation. Lyman ajoute, « le refroidissement reflète la variabilité interannuelle qui n’est pas bien représentée par une tendance linéaire. »

Le nouvel océan se refroidissant également rappelle plusieurs études de la NASA de ces cinq dernières années qui ont trouvé un passage normal énorme de chaleur au-dessus de la surface chaude dite de l’océan pacifique, une bande d’eau de milliers de milles de large sur l’équateur. Études coordonnées par Bruce Weilicki, du centre de recherches de Langley de la NASA, il a constaté : quand les températures de surface de mer s’élèvent au-dessus de 28 degrés de C, les précipitations du Pacifiques deviennent plus efficaces. Plus de gouttelettes de nuage forment des gouttes de pluie, ainsi moins elles restent en altitude, glacial, les nuages de cirrus qui scellent dans la chaleur. En conséquence, le secteur de nuages de cirrus est réduit, et bien plus de chaleur passe vers  l’espace. Ceci refroidit la surface des eaux du Pacifique, l’eau océanique la plus chaude du monde.

Les équipes de recherche de Weilicki disent que le passage normal énorme de la chaleur émise est environ autant que le réchauffement émis pendant les années 80 et le 90 qui était prévu de redoubler le contenu d’anhydride carbonique dans le ciel. Elles ont utilisé des satellites pour mesurer la couverture nuageuse et des avions long-courrier pour surveiller les températures océaniques.

Layman dit que les refroidissements océaniques soudains compliquent en particulier le problème de séparer les changements normaux de température des impacts artificiels sur la température de la Terre. On a assuré que l’impact du CO2 émis par l’espèce humaine s’accumule dans une tendance d’une ligne directe sur plusieurs décennies.

En attendant, depuis les années 80, les noyaux de glace de la terre, les sédiments de fond de la mer et les stalagmites de caverne avaient indiqué un cycle modéré et normal du climat de 1.500 ans lié à l’irradiance solaire. Les températures sautent soudainement de 1 à 2 degrés de C au-dessus des moyennes aux latitudes de Washington, de C.C, et de New York City, et davantage que cela aux pôles.

Les températures changent à peine à l’équateur pendant le cycle de 1.500 ans, et les résultats de ce passage de chaleur de la NASA de Bruce Weilicki semblent indiquer pourquoi. La surface chaude du Pacifique agit comme un fait-tout, avec son sorte de « couvercle » qui est ouvert et qui émet de la vapeur quand l’eau devient trop chaude.

Plus nous regardons, plus nous nous apprenons sur les forces complexes  terrestres. Cependant une grande partie des nouvelles connaissances vient des modèles globaux énormes et non vérifiés de la circulation. Ils sont favorisés par les personnes qui parlent d’un réchauffement global.

source : http://www.ocregister.com/ / Traduction et adaptation La Terre du Futur

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